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Le COP21, la démonstration d'un échec

25 juin 2020

Réchauffement terrestre : plus d’heures d'ensoleillement . Conséquences : 2,4 °C de plus en 2100 avec ou sans CO2 industriel !

Réchauffement terrestre 

Plus d’heures d'ensoleillement . Conséquences : 2,4 °C de plus en 2100 avec ou sans émission de CO2 industriel !

D’abord une remarque, il ne faut pas confondre un réchauffement climatique avec le réchauffement terrestre. Le climat est un événement très complexe, dont la température est un élément important.

Le réchauffement terrestre en cours, est parfaitement calculable, mais pas contrôlable par l’homme. Ce qui est expliqué ci-dessus.

La température terrestre est déterminée par sa pression atmosphérique, la composition de la surface terrestre, les caractéristiques des gaz composant l’atmosphère, et son absorption solaire.

Dans la formule ci-dessus il est possible d’introduire une constante solaire, une pression atmosphérique avec une composition de gaz quasiment stable. Il y a qu’un facteur variable, notamment les nombres des heures d'ensoleillement.

Les nombres d’heures d'ensoleillement ont augmenté de +/- 21 %  dans le siècle passée dans l’hémisphère Nord.

Avec les données ci-dessus  il est possible de calculer quelle température terrestre il y aura en 2100.

(L’influence thermique du  CO2  notamment +/- 410 ppm actuelle n’est que de 0.07 %)

Comment et pourquoi? La réponse  (ci-dessous) est traité avec des données scientifiquement connues et confirmées par des observations réalistes.

Première observation ; La lune n’a pratiquement pas d’atmosphère, la température sur la lune est selon le NASA 130°C sur le coté soleil et 223 °C coté opposée. Sur la Terre avec une pression atmosphérique de +/- 1020 mbar on mesure une température moyenne de 66.3 °C plus élevée.

La lune tourne  à peu près à la même distance autour du soleil que la Terre et reçoit la même quantité d’énergie solaire que la Terre au m².

L’atmosphère, avec une masse de 5 100 000 milliard de tonnes, absorbe chaque jour une quantité d’énergie solaire, qui est réémise la nuit, (voir la loi de Kirchhoff) L’atmosphère  est en réalité une masse de stockage thermique, qui garantie la température moyenne de  16.2 °C actuellement.

Les gaz qui composent l’atmosphère, n’ont pas les caractéristiques physiques ni thermiques pour qu’on puisse  parler d’effet de serre, ou des gaz à effet de serre. Le CO2 ne fait pas d’exception, ni par sa masse,  ni par ces performances thermiques et physiques !

Deux sources basiques sont en mesure de changer la température terrestre, soit la masse atmosphérique, soit la puissance solaire, ou une combinaison des deux.

a – Pour un réchauffement terrestre de 2.4°C, il faut que la constante solaire augmente de +/- 20%. Ce scénario est à exclure selon les experts en la matière. 

b -  La pression thermique est, et, était  +/- 1020 mbar, depuis qu’on la mesure. Pour réaliser l’augmentation de 2,4°C,  il faut que la pression atmosphérique soit 1224 mbar. Ceci est aussi un scenario à exclure.

L’impact du CO2 sur le réchauffement terrestre et le climat ;

L’IPCC, GIEC en France, tente d' expliquer  le réchauffement climatique, avec l’émission de CO2  industrielle. Ceci est facile à vérifier. Depuis 1900 il y à  120 à 130 ppm de CO2 en plus dans l’atmosphère, ceci représente en masse  +/- 1.68 kg soit 1.68 mbar.

Comme il faut 204 mbar en plus pour un réchauffement de 2.4°C, le 1.68 mbar de CO2 ne signifient strictement rien dans le réchauffement constaté.

Le rôle du CO2 dans le climat : la photosynthèse liant le CO2 à la végétation, qui est donc la source de la vie sur la Terre, la végetation respire et crée de l’ombre et a par conséquent, a une influence climatisante. Sans CO2 il faut penser à un effet de « Sahara » sur toute la surface terrestre.

Raison du réchauffement terrestre probable.

L’émission solaire, ou plutôt l’impact solaire sur la masse atmosphérique a une valeur connue et constante, la pression atmosphérique de 1020 mbar est une donnée fiable et ne varie pratiquement pas. Mais la Terre subit tout de même un réchauffement.

Comme déjà dit, le facteur du nombre d' heures d'ensoleillement est important pour déterminer la température terrestre. Il y a des indications scientifiquement constatées qui expliquent le réchauffement de 1.2 °C par siècle.

L’Université de Wageningen au Pays- Bas a publiée en 2009 que l'on compte 412 heures de soleil de plus par an, depuis 1928 au Pays-Bas. Le service météo Néerlandaise, le KNMI a publié  à peu près les mêmes valeurs.

Autre comptages à long termes montrent les mêmes tendances en Europe et l’Amérique du Nord, cependant les scientifiques ne s’expliquent pas d'où viennent les heures supplémentaires d'ensoleillement.

Les heures supplémentaires d'ensoleillement correspondent thermiquement au le réchauffement terrestre constaté sur l’hémisphère Nord

Quand les nombres d’heures d'ensoleillement sont comptabilisés, et comparés avec il y a 100 ans, il est possible de prévoir le réchauffement terrestre.

Par exemple ; au cas où les nombres d’heures d'ensoleillement continuent à progresser  à la même cadence, en 2100 la température terrestre sera 2.4 °C plus élevée.

Au cas où les heures d'ensoleillement se stabiliseraient, la température terrestre se stabilisera également.

Un exemple : l’apport Humain sur le réchauffement 

Le stock en énergie fossile mondial est estimé à 838 Gtep (7.746E+9 GWh) cette énergie chauffera la masse atmosphérique durant 7 heures pour augmenter l’atmosphère de 1°C. Une année compte 8760 heures, ceci démontre quel’impact en énergie fossile dans le bilan mondial énergétique n’est pas mesurable.

         

    Valeurs appliquées dans l'article ci-dessus :      

   

 

 

 JBG

 

 

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7 novembre 2015

Le COP21 Conférence sur le climat du GIEC à

Le COP21 Conférence sur le climat du GIEC à Paris.

 Selon l’IPCC, (GIEC en France),  le réchauffement climatique mondial n’est  que 0,8°C depuis 1888, soit 0,0065 °C par an, ceci est confirmé par la NASA.

Une extrapolation simple permet de penser que le réchauffement  ne dépassera pas le

 1,378 °C en 2100 ! Ceci est loin de leur pré-vision, notamment 2,4 à 6,4 °C.

Un réchauffement de 1,378 °C en 212 ans est une variation naturel, du déjà vu dans l’histoire de la Terre. 

Un scientifique renommé a dit ; La science est amorale, elle ne se décrète pas, ni à l’unanimité, ni au consensus, ni à la majorité. «Elle se prouve». 

Rien n’est plus fiable que des mesures ciblées, ceci prouve ou désapprouve une théorie ou des formules, un réchauffement de 0.8 °C en 120 ans et probablement 1.378 °C en 2100 est une preuve fiable et contredit formellement la prévision catastrophiste de 6.4 °C à la fin du siècle, du GIEC.

LE 21 eme Conférence sur le climat du GIEC prévu le mois de décembre à Paris, ou le thème principal est, limiter le réchauffement climatique à  < 2 °C en 2050 en réduisant l’émission du CO2 . Selon les chifres du GIEC même, extrapoléça sera 1.053 °C Pourquoi donc une 21 eme congres ?

Est-ce que ce n’est pas un peu prétentieux de la part du GIEC, un Institute « Inter-gouvernemental » donc politique, qui prétend d’avoir le pouvoir de contrôler le climat dont l’atmosphère terrestre, une masse de 5 100 000 milliard de tonnes et le pouvoir émissif du soleil avec seulement +/- 100 parts par millions de CO2 en plus en 100 ans. Tandis que les problèmes quotidiens, la pollution des océans, le gaspillage d’énergie fossile, la destruction des forets tropicales, des risques des guerres nucléaire, le Djihâd, l’immigration etc. leur échappe quasi totalement. La politique et la science ne fond pas bon mariage. « Elle ne se décrète pas »

Les scientifiques qui adhérent au GIEC disent; selon des modèles introduits dans leurs ordinateurs hyper puissants, résulte entre autre, que le gaz CO2 est pour 80% responsable de la température à la surface de la Terre, la réémission énergétique de la Terre est retenue par le CO2 (une masse de +/-5.9 kg/m² sur 10 000 kg/m²) Point barre! «Rien n’est prouvé ».

Pourquoi une telle différence entre le réchauffement modèle GIEC de 6.4 °C en 2100 et le 1.378 °C extrapolé des valeurs publiées par le GIEC? Une des raisons est, le model GIEC est en contradiction avec une loi naturelle incontournable, notamment celle de Kirchhoff une loi enseignée en cours de sciences naturelles terminal, un corps noir tel la Terre, « l’absorption énergétique est proportionnelle à son  pouvoir émissif ». Autrement dit le bilan annuel de l’émission de la Terre est 0.000 Wh/m²/an.

Lorsque un réchauffement climatique est une question scientifique et non politique il faut faire un petit effort;  la masse de CO2,  +/- 5.9 kg/m² (+/- 380 ppmv) dans la colonne atmoshérique de 10 036 kg/m² ne reçoit pas d’énergie de la surface de la Terre selon Kirchhoff, et exclut que le gaz CO2 fonctionne comme un gaz à effet de serre.

Deuxième raison, ceci est aussi un constat reconnu, le CNRS s’exprime ainsi: Alors que dans l’infrarouge la principale fenêtre atmosphérique est comprise entre 8 et 14 microns (µm), c’est-à-dire dans ces spectres l’atmosphère est transparente et n’absorbe pratiquement pas d’énergie infrarouge. Justement la surface de la Terre réémet son énergie infrarouge entre 10 et 10.6 µm. Si le CO2   ne reçoit pas d’énergie et n’absorbe pas de énergie, il ne peut être un gaz à effet de serre. Ni par sa masse ni par ses caractéristiques physiques.

Pourtant il y a un réchauffement climatique de 0.8 °C en 120 an, « prouvé », si le bilan de la réémission de la surface de la Terre est 0.000 Wh/m², l’énergie doit venir de quelque part ailleurs, la source la plus évidente , pour réchauffer 10 036 kg/m² d’air atmosphérique de – 18 à 15 °C (Δt 33°C) il faut énormément d’énergie. Il y a que le soleil qui peut répondre cette demande.

Il y a des indications qui confirment cette évidence, malgré la résistance du GIEC qui conteste, par la voix de Mr. Jean Jouzel entre autre, que se soit le soleil, pourtant !! 

Aux Pays Bas, l’Université de Wageningen à publié en 2009 que durant les 80 ans passés les Pays Bas ont reçu 420 heures de soleil supplémentaire par an et l’intensité a augmenté de 2 % par décennie. Dans d’autres Pays Nordique ils ont constaté les même phénomènes. L’auteur à constaté à Orléans a peu prés les mêmes performances.

Plus de soleil sur l’hémisphère nord provoque la fonte de la neige et change l’albédo ce qui explique le rehaussement des océans. D’ailleurs se servir du Groenland comme exemple pour la promotion du réchauffement climatique n’est pas vraiment très scientifique.

Du scandinave groen (vert) et land (Terre)? Ce nom fut donné par Erik le Rouge, un chef Viking venu 'islande, vers 985. les près verts à l'endroit ou il débarqua contrastant avec les champs de lave d'Islande en seraint l'origine.

Des gisements célèbres du Groenland ont été étudiés par Mr. Heer. On y trouvait Noisetiers, Magnolias, Liquidambars, Vignes, Platanes, et des Conifères comme les Cyprès chauves. Henri Gaussen, Géographie des Plantes, Armand Colin, 1933, p. 55)

La concentration de CO2 en l’année mille a été  +/- 300 ppmv (extraction à sec) selon des analyses effectuées  à Grenoble. Donc une concentration de CO2 plus basse et une température plus élevée selon le Viking Eric le Rouge et Mr. Heer.

N’y a-t-il pas suffisamment d’arguments pour avoir des doutes sur le model climatique du GIEC IPCC? Concernant le rehaussement des niveaux des océans qui est estimé actuellement à +/- 20  cm depuis 1880, soit 1.6 mm/an, selon plusieurs sources officielles (dont une donnée exploitable), en extrapolant ceci donne en 2100 un rehaussement d’environ 352 mm, et non pas 3 à 5 m, selon Allen Gore et des autres.

Une autre approche sur le fonctionnement de l’atmosphère.

L’atmosphère ne fonctionne pas comme une serre, une serre est un volume limité par une couche de vitres dont les caractéristiques thermique sont parfaitement connues, L’atmosphère au fur et mesure qu’il s’éloigne de la terre, sa masse diminue jusqu’à 0.000 gr/m² et n’a par conséquence rien de commun  avec une serre et fonctionne différemment. 

Toutes les matières absorbent et  sont ainsi réchauffée par des rayons solaires infrarouges  dans des spectres différents aussi les gaz, les  99.9 % des gaz atmosphériques absorbent leur énergie dans les infrarouges à haute densité. Par exemple le 21.8 % d’oxygène absorbe à 0.746 µm. et représente 23.14 % dans le bilan énergétique, l’azote 75.42 % et le CO2 en tant que gaz atmosphérique 0.06%, Tous les gaz réémettent leur énergie infrarouge à +/-10 µm, dans la fenêtré atmosphérique directement dans l’espace.

Les médias publiques ne se gênent pas  à émettre des documentaires, partiellement fausses, exagéré ou déjà rattrapé par la réalité  pour mettre en évidence le réchauffement climatique du à l’émission du CO2 humain, pour faire la promotion du 21 eme congre à Paris.

Note personnelle ;

Je ne me considère pas comme un climat sceptique model Américain, un lobby très puisssant qui défend des intérêts économiques, industriels ou personnels, sans se poser des ques-tions scientifiques, mais simplement comme un climat-réaliste.

J’ai été un spécialiste dans la création et réalisation de climat sous serres et ceci durant 35 ans, et j’ai conçu et réalisé environs 400 ha de serres dans des pays différents, la Russie (- 35°C mini), le Pays Bas, la France, la Bulgarie, la Roumanie, l’Angleterre, l’Arabie Saoudite et les Emirats Unis (+ 51°C maxi). Ceci simplement pour dire que je suis censé savoir ce que c’est un « effet de serre », surtout a ne pas confondre avec « l’effet atmosphérique ».

Riche de cette expérience j’ai commencé à m’intéresser au réchauffement climatique modèle GIEC mais au fur et mesure que j’ai avancé dans  mes recherche, je me suis étonné des incohérences et le non sens de leur modèle entre autre de confondre l’effet de serre avec l’effet d’atmosphère et leur acharnement de les faire coïncider malgré tout.

1 kg de céréale extrait +/- 16 kg de CO2 de l’atmosphère. Au début de 1900 il y avait 1.2 milliards d’habitants sur la Terre, actuellement on approche le 7 milliards. Il faut donc d’avantage de CO2,.  

Il y a tout de même une raison de lutter intensivement contre l’émission du CO2, industriel, pas pour lutter contre le réchauffement climatique ( 0.06 %), mais contre le gaspillage de l’énergie fossile  et équilibrer la concentration, et surtout réduire l’émission des NOX, et les particules fines etc.

Le CO2 est un gaz noble, la Terre sans CO2 dans son atmosphère serait une Terre sans vie et beaucoup plus chaude. Donc pas d’arbres pas de végétation, pas de nourriture, pas d’animaux, pas d’espèce humaine !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

24 août 2011

CO2 antropique ==>l'effet de serre ==> nonsens

Date 11/08/2011

 

CO2 anthropique  ==> L’effet de serre ==> Non-sens 

 

Le présent article tend à faire connaître une étude approfondie menée dans le but de réduire le gaspillage de l’énergie fossile à court terme et de faire avancer la recherche de l’énergie renouvelable, inépuisable, non polluante. Cette étude révèle que cette énergie existe, mais exclu que le CO2 réchauffe le climat.

  

Pourquoi l’histoire du réchauffement climatique causé par le CO2 anthropique a-t-elle fait et fait-elle encore couler tant d’ancre dans le monde entier? Simplement parce qu’un groupe de chercheurs intergouvernementaux, l’IPCC, programmé par des Nations Unies, en France appelé GIEC, n’a pas trouvé mieux que d’accuser ce gaz noble qu’est le CO2.

 

Seulement aucun des scientifiques du GIEC n’est capable de prouver quoi que ce soit. Ils se contentent d’affirmer simplement ce qu’indiquent des modèles introduits dans des ordinateurs hyper puissant (sans en produire les données) : les 370 ppm (parts par million)  de CO2, que contient  l’atmosphère, garantissent la température moyen de – 18 à 15 °C à la surface de la Terre, pour 80 %.

 

La concentration de CO2 était de 290 ppm à la fin du 19 eme et est actuellement de 370 ppm, soit disant dû à l’activité humaine. L’augmentation future anthropique supposée  provo-quera un réchauffement de 2.4 à 6 °C dans les cent ans à venir selon le GIEC.

 

Les médias, malheureusement, ne sont pas des spécialistes en la matière, et publient les résultats du GIEC presque sans réserve. Pourtant il y a énormément de scientifiques renommés qui ne sont pas du même avis mais leurs travaux ne sont pas pris en compte et même vivement critiqué.

 

Ci-dessous voici donc, je propose une autre approche, basée sur des lois physiques, thermiques, biologiques et des observations connues et réelles, compréhensibles par tous ceux qui ont la volonté de comprendre de quoi on parle.     

  

Le CO2 : Contrairement aux autres gaz dont l’atmosphère est composée, le CO2 n’est pas vraiment un gaz. Le CO2 est composé d’une molécule de carbone « C » qui est une matière solide et deux molécules d’oxygène O2, un véritable gaz.

 

Pourquoi la nature a-t-elle conçu la molécule de CO2 ? La végétation à besoin du carbone, pour que la photosynthèse ait lieux, les feuilles des plantes assimilent le carbone véhiculé par l’O2 dans l’atmosphère. Toute vie sur la Terre en dépend, les forets, les toundras, sans oublier les céréales, fruits et légumes etc., bref sans CO2 pas de vie. La vie dans les océans en dépend également.

 

L’Université de Wageningen aux Pays Bas en collaborant avec d’autres universités a constaté que chaque année l’assimilation de carbone « C » pour la végétation mondiale est de 123 milliard de tonnes, soit 450 milliard de tonnes de CO2.

 

L’émission industrielle mondiale de CO2 est estimée à ± 28 milliards tonnes/an cela signifie qu’en 23 jours l’émission anthropique est absorbée par la végétation mondiale. Le problème à résoudre est le suivant : d’où vient le CO2  pour les 342 jours restant de l’année ?

 

L’effet de serre : Une serre est un espace délimité par des vitres, qui laissent passer les rayons solaires, dont ± 1 % de rayons UV, 92 % de rayons lumineux et 95 % de rayons infrarouges et leurs transmission thermique est de 5.8 W/m² (U = 5.8 W/m²).

 

L’Atmosphère à une masse de 10 000 kg/m² et la pression réduit au fur et à mesure qu’il s’éloigne de  la Terre, jusqu'à ce que sa composition ne corresponde plus aux caractériques d’un gaz composé. Il n’y a plus de transmission d’énergie entres les molécules, c’est ce qu’on appelle la limite de l’atmosphère et c’est ici que commence le quasi vide.

 

La limite de l’atmosphère laisse passer 100% des rayons ultra violets (UV), 100% des rayons lumineux et 100 % de rayons infrarouges et U = 0.000 W/m². Comparer l’atmosphère à une serre est une erreur impardonnable.

 

Dans l’air atmosphérique il y a ± 370 ppm de CO2  dont 999 630  ppm  d’autres gaz, le GIEC impose à l’homme lambda de croire que les 370 ppm de CO2 réchauffent les 999 630 ppm d’autres gaz atmosphériques de – 18 à 15 °C pour 80 %, et ceci  avec les rayons solaires stockés et réémis en rayons infrarouges par la surface de la Terre.

 

Un gaz avec des telles caractéristiques et particulièrement la capacité de stockage thermique de 1 : 2702 n’existe simplement pas sur notre planète.

 

Jusqu’ici tout est relativement simple, mais pour comprendre l’essentiel, le non sens du réchauffement climatique causé par l’émission du CO2  anthropique, il faut faire un peu de thermo-physique : Toute matière, qu’elle soit solide, liquide ou gazeuse, soumise aux rayons solaires, est chauffé par les rayons infrarouges entre 0.78 et 3 µ (micromètres), et au de-là le soleil émet encore des infrarouges jusqu’à 30 µ. Mais l’intensité est extrêmement faible.

 

La surface de la Terre réémet donc l’énergie infrarouge avec une intensité extrêmement faible, soit de 11.3 à 10 µ (18 à 15 °C). Cette énergie extrêmement faible doit réchauffer les 370 ppm CO2, qui doivent à leur tour transmettre leur énergie sous forme de chaleur aux autres 999 630 ppm, selon l’évangile du GIEC.

 

En réalité les 20.9 % d’oxygène présent dans l’atmosphère sont chauffés directement par les rayons infrarouges dans les spectres de 0.759 et 0.767 µ, mesurés avec un « Tunable diode Laser de marque Vaisala ».  Les spectres d’absorption de 78.11 % d’azote sont également dans les rayons à haute intensités. Il faut donc retenir que  le CO2 ne réchauffe pas l’oxygèneni l’azote

 

Le GIEC considère le CO2 comme un gaz à effet de serre. Voyons la réalité, les photons*  dans les rayons solaires, sont absorbés à 12 µ (-32°C) et à 5 µ (307°C) dans le CO2. On constate ci-dessus, que la Terre réémet entre   11.3 µ (-18 °C)  et   10 µ (15 °C), ceci signifie que l’énergie infrarouge de la réémission terrestre n’est pas absorbé par les 370 ppm de CO2  et partent sans encombre dans l’espace avec une vitesse de 300 000 km/sec.

(* Des  unités d’énergie électromagnétiques)

 

Le Non-sens

Le CO2 n’est par conséquent pas un gaz à effet de serre, ni par ça capacité de stockage thermique, ni par ses caractéristiques thermo physiques, ni par sa masse.

 

L’atmosphère fonctionne comme un tampon d’énergie sous forme de chaleur. Les ≥ 99.9 % des gaz qu’elle contient absorbent directement l’énergie solaire infrarouge à haute intensité, et la réémet à très basse intensité. L’absorption  s’effectue plus vite que la réémission.

 

Y a-t-il un réchauffement climatique ? OUI, en tout cas à certains endroits, l’Université de Wageningen aux Pays Bas a publiée en 2009 que l’on compte actuellement 412 heures d’ensoleillement de plus qu’il y avait 80 ans et l’augmentation de la température est de 0.9 °C.

 

Personnellement, dans le cadre mes recherches effectuées à Orleans j’ai constaté que sur la période de 1963 à 2003, on a enregistré ± 22 % d’énergie solaire supplémentaire et une augmentation de la température de   1.1 °C.

 

Ceci confirme les arguments développés précédemment qui ont bien démontré que l’émission du CO2 anthropique n’est pas la cause d’un changement climatique. L’augmentation d’énergie solaire reçus à la surface de la Terre explique à elle seule largement le réchauffement climatique.

 

Plus de CO2 signifie plus de végétation, plus de végétation crée de l’ombre et abaisse la température à la surface de la Terre. Vive le CO2. Mais au lieu que le GIEC s’acharne sur le CO2, ce gaz indispensable à la vie, il serait plus intéressant de s’appliquer à développer sérieusement  les recherches sur les énergies renouvelables.

 

                                                                                                                      L’auteur :  Jean de Bloois

 

                                                                                               

 

 

 

 

24 août 2011

CO2 antropique ==>l'effet de serre ==> nonsens

Date 11/08/2011

 

CO2 anthropique  ==> L’effet de serre ==> Non-sens 

 

Le présent article tend à faire connaître une étude approfondie menée dans le but de réduire le gaspillage de l’énergie fossile à court terme et de faire avancer la recherche de l’énergie renouvelable, inépuisable, non polluante. Cette étude révèle que cette énergie existe, mais exclu que le CO2 réchauffe le climat.

  

Pourquoi l’histoire du réchauffement climatique causé par le CO2 anthropique a-t-elle fait et fait-elle encore couler tant d’ancre dans le monde entier? Simplement parce qu’un groupe de chercheurs intergouvernementaux, l’IPCC, programmé par des Nations Unies, en France appelé GIEC, n’a pas trouvé mieux que d’accuser ce gaz noble qu’est le CO2.

 

Seulement aucun des scientifiques du GIEC n’est capable de prouver quoi que ce soit. Ils se contentent d’affirmer simplement ce qu’indiquent des modèles introduits dans des ordinateurs hyper puissant (sans en produire les données) : les 370 ppm (parts par million)  de CO2, que contient  l’atmosphère, garantissent la température moyen de – 18 à 15 °C à la surface de la Terre, pour 80 %.

 

La concentration de CO2 était de 290 ppm à la fin du 19 eme et est actuellement de 370 ppm, soit disant dû à l’activité humaine. L’augmentation future anthropique supposée  provo-quera un réchauffement de 2.4 à 6 °C dans les cent ans à venir selon le GIEC.

 

Les médias, malheureusement, ne sont pas des spécialistes en la matière, et publient les résultats du GIEC presque sans réserve. Pourtant il y a énormément de scientifiques renommés qui ne sont pas du même avis mais leurs travaux ne sont pas pris en compte et même vivement critiqué.

 

Ci-dessous voici donc, je propose une autre approche, basée sur des lois physiques, thermiques, biologiques et des observations connues et réelles, compréhensibles par tous ceux qui ont la volonté de comprendre de quoi on parle.     

  

Le CO2 : Contrairement aux autres gaz dont l’atmosphère est composée, le CO2 n’est pas vraiment un gaz. Le CO2 est composé d’une molécule de carbone « C » qui est une matière solide et deux molécules d’oxygène O2, un véritable gaz.

 

Pourquoi la nature a-t-elle conçu la molécule de CO2 ? La végétation à besoin du carbone, pour que la photosynthèse ait lieux, les feuilles des plantes assimilent le carbone véhiculé par l’O2 dans l’atmosphère. Toute vie sur la Terre en dépend, les forets, les toundras, sans oublier les céréales, fruits et légumes etc., bref sans CO2 pas de vie. La vie dans les océans en dépend également.

 

L’Université de Wageningen aux Pays Bas en collaborant avec d’autres universités a constaté que chaque année l’assimilation de carbone « C » pour la végétation mondiale est de 123 milliard de tonnes, soit 450 milliard de tonnes de CO2.

 

L’émission industrielle mondiale de CO2 est estimée à ± 28 milliards tonnes/an cela signifie qu’en 23 jours l’émission anthropique est absorbée par la végétation mondiale. Le problème à résoudre est le suivant : d’où vient le CO2  pour les 342 jours restant de l’année ?

 

L’effet de serre : Une serre est un espace délimité par des vitres, qui laissent passer les rayons solaires, dont ± 1 % de rayons UV, 92 % de rayons lumineux et 95 % de rayons infrarouges et leurs transmission thermique est de 5.8 W/m² (U = 5.8 W/m²).

 

L’Atmosphère à une masse de 10 000 kg/m² et la pression réduit au fur et à mesure qu’il s’éloigne de  la Terre, jusqu'à ce que sa composition ne corresponde plus aux caractériques d’un gaz composé. Il n’y a plus de transmission d’énergie entres les molécules, c’est ce qu’on appelle la limite de l’atmosphère et c’est ici que commence le quasi vide.

 

La limite de l’atmosphère laisse passer 100% des rayons ultra violets (UV), 100% des rayons lumineux et 100 % de rayons infrarouges et U = 0.000 W/m². Comparer l’atmosphère à une serre est une erreur impardonnable.

 

Dans l’air atmosphérique il y a ± 370 ppm de CO2  dont 999 630  ppm  d’autres gaz, le GIEC impose à l’homme lambda de croire que les 370 ppm de CO2 réchauffent les 999 630 ppm d’autres gaz atmosphériques de – 18 à 15 °C pour 80 %, et ceci  avec les rayons solaires stockés et réémis en rayons infrarouges par la surface de la Terre.

 

Un gaz avec des telles caractéristiques et particulièrement la capacité de stockage thermique de 1 : 2702 n’existe simplement pas sur notre planète.

 

Jusqu’ici tout est relativement simple, mais pour comprendre l’essentiel, le non sens du réchauffement climatique causé par l’émission du CO2  anthropique, il faut faire un peu de thermo-physique : Toute matière, qu’elle soit solide, liquide ou gazeuse, soumise aux rayons solaires, est chauffé par les rayons infrarouges entre 0.78 et 3 µ (micromètres), et au de-là le soleil émet encore des infrarouges jusqu’à 30 µ. Mais l’intensité est extrêmement faible.

 

La surface de la Terre réémet donc l’énergie infrarouge avec une intensité extrêmement faible, soit de 11.3 à 10 µ (18 à 15 °C). Cette énergie extrêmement faible doit réchauffer les 370 ppm CO2, qui doivent à leur tour transmettre leur énergie sous forme de chaleur aux autres 999 630 ppm, selon l’évangile du GIEC.

 

En réalité les 20.9 % d’oxygène présent dans l’atmosphère sont chauffés directement par les rayons infrarouges dans les spectres de 0.759 et 0.767 µ, mesurés avec un « Tunable diode Laser de marque Vaisala ».  Les spectres d’absorption de 78.11 % d’azote sont également dans les rayons à haute intensités. Il faut donc retenir que  le CO2 ne réchauffe pas l’oxygèneni l’azote

 

Le GIEC considère le CO2 comme un gaz à effet de serre. Voyons la réalité, les photons*  dans les rayons solaires, sont absorbés à 12 µ (-32°C) et à 5 µ (307°C) dans le CO2. On constate ci-dessus, que la Terre réémet entre   11.3 µ (-18 °C)  et   10 µ (15 °C), ceci signifie que l’énergie infrarouge de la réémission terrestre n’est pas absorbé par les 370 ppm de CO2  et partent sans encombre dans l’espace avec une vitesse de 300 000 km/sec.

(* Des  unités d’énergie électromagnétiques)

 

Le Non-sens

Le CO2 n’est par conséquent pas un gaz à effet de serre, ni par ça capacité de stockage thermique, ni par ses caractéristiques thermo physiques, ni par sa masse.

 

L’atmosphère fonctionne comme un tampon d’énergie sous forme de chaleur. Les ≥ 99.9 % des gaz qu’elle contient absorbent directement l’énergie solaire infrarouge à haute intensité, et la réémet à très basse intensité. L’absorption  s’effectue plus vite que la réémission.

 

Y a-t-il un réchauffement climatique ? OUI, en tout cas à certains endroits, l’Université de Wageningen aux Pays Bas a publiée en 2009 que l’on compte actuellement 412 heures d’ensoleillement de plus qu’il y avait 80 ans et l’augmentation de la température est de 0.9 °C.

 

Personnellement, dans le cadre mes recherches effectuées à Orleans j’ai constaté que sur la période de 1963 à 2003, on a enregistré ± 22 % d’énergie solaire supplémentaire et une augmentation de la température de   1.1 °C.

 

Ceci confirme les arguments développés précédemment qui ont bien démontré que l’émission du CO2 anthropique n’est pas la cause d’un changement climatique. L’augmentation d’énergie solaire reçus à la surface de la Terre explique à elle seule largement le réchauffement climatique.

 

Plus de CO2 signifie plus de végétation, plus de végétation crée de l’ombre et abaisse la température à la surface de la Terre. Vive le CO2. Mais au lieu que le GIEC s’acharne sur le CO2, ce gaz indispensable à la vie, il serait plus intéressant de s’appliquer à développer sérieusement  les recherches sur les énergies renouvelables.

 

                                                                                                                      L’auteur :  Jean de Bloois

 

                                                                                               

 

 

 

 

22 mai 2010

Aux Pays Bas, on compte 412 heures de soleil par an de plus qu’il y a 80 ans

Aux Pays Bas, on compte 412 heures de soleil par an de plus qu’il y a 80 ans

 

Mr. Claude Allègre a du mal à expliquer, que le CO2 n’est pas la  responsable du  réchauffement climatique.

 

M. Jean Jouzel etc. disent le contraire. Les données scientifiques à leurs dispositions sont très théoriques et des erreurs d’interprétation et application sont incon-tournables.

 

Les scientifiques du GIEC ouvrent une fenêtre de 1m² sur le soleil, dont la con-naissance est encore mince, font voyager les rayons solaire, ultraviolet, lumineux et infrarouges 150 000 000 km dans l’espace, et se basent sur la loi de Planck, introduit dans une formule, très complique.

 

Peu de gens sont capables de comprendre  les constantes de Boltzmann et Planck et les manipulations mathématiques, heureusement ce n’est pas indis-pensable pour comprendre qu’n réchauffement climatique à cause du CO2 ne peut pas être une réalité  (h =6,63E -34 J/s  constante de Planck. K = 1,38E -23 J/s constante de Boltzmann.)        

 

Le résultat de cette formule en mettant les longueurs d’ondes (λ) de 0.3 à 0.7 µm des rayons lumineux donne : 1370 W/m². Ce que les « carbocentristes » appellent la constante solaire, et avec cette énergie ils réchauffent l’atmosphère. A savoir 10 000 kg/m² de -18 à 15 °C.

 

Les rayons lumineux,  ne sont pas des rayons thermiques, ce qui n’empêche pas le GIEC et d’autres carbocentristes d’utiliser la constante solaire pour faire leur bilan thermique.

 

Il faut savoir que toutes les matières, solides, liquides ou gazeuses, sont réchauffées par les rayons infrarouges, l’air atmosphérique est un gaz composé, qui n’est par conséquent pas réchauffés par les rayons lumineux, par exemple l’oxygène (O2) 21%, et l’azote (N2) 78% sont réchauffé par les rayons infrarouge à très haute intensité et le CO2 soit ± 0.037%  à très basse densité. ( ± 10 µm)

 

Le GIEC ose dire que 0.037 % de CO2 réémis à 15 °C par la surface de la Terre réchauffe 99 % d’oxygène et d’azote   de – 18 à 15 °C.  Un gaz avec des carac-téristiques thermiques et physiques pareilles n’existe simplement pas.  Au moyen âge cela  s’appelait « l’alchimie ».

 

Un gaz comme ceci existe uniquement dans des simulations climatiques effectuées sur des ordinateurs super puissants et sophistiqués, dans lesquels les climatologues oublient d’introduire la masse atmosphérique soit 5 100 000 milliards de tonnes, ex-cepté le 0.037 % de CO2 et 0.365 % de H20.

 

Le GIEC annonce un réchauffement climatique, à cause de l’émission du CO2 industriel de 2.4 à 6 °C dans les 100 ans à venir. Il y à deux scénario pour que cela arrive : - a - le soleil  émet plus d’énergie ou,  -b- le soleil brille plus long temps par an, et ceci est le cas.

(Voir ci-dessous)

 

L’énergie solaire absorbée par la surface de la Terre transformé en rayons infrarouges, et réémise ensuite, le 0,037 % de CO2 absorbe et réémet 42 à 50 Wm²  en énergie à l’atmosphère (voir aussi CNRS*) et ceci représente dans le bilan thermique terrestre  0.0145 °C.

 

Ceci signifie que l’énergie réémise par la surface de la Terre et capté par le CO2 ne transmet pas son énergie à l’oxygène ni a l’azote, l’énergie part avec une vitesse de 1250 km/sec. directement dans l’espace.

 

Faire admettre ceci aux hommes politiques, qui n’ont aucune connaissance en la matière, et aux (scientifiques) du GIEC, leur faire dire le contraire, tout cela est inutile, il faut une preuve irréfutable !

 

Et voila la confirmation que le CO2 n’est pas la cause d’un réchauffement climatique. L’Université de Wageningen au Pays Bas a publié en 2009 qu’aux Pays Bas le soleil brille actuellement 412 h de plus qu’il y à 80 ans.

 

Les 422 heures signifient ± 25% de soleil en plus et la température a pendant la même époque augmenté de 0.9 °C. Ceci explique largement le réchauffement climatique.

 

Bien sûr on va dire, mais c’est aux Pays Bas, mais près d’Orléans j’ai eu des informations d’une station de recherche des cultures sous serre concernant l’époque de 1961 à 2002,  et la température moyen a augmenté de 1.25 °C, l’explication est, que le rayonnement solaire a augmenté de 24.39 W/m², (± 20 %).

 

Météo France à La Rochelle indique que l’ensoleillement n’a pas augmenté beau-coup et les températures ont augmenté seulement 0.4 ° C durant la même période.

 

Avec les données ci-dessus il y a une raison urgente de savoir pourquoi a augmenté l’ensoleillement, avec ce résultat nous pourrons déterminer s’il agit d’un réchauffe-ment durable ou passager.

 

Pourquoi le GIEC et les médias s’acharnent sur le CO2 pour expliquer un réchauf-fement climatique et ne parlent pas de  la durée d’ensoleillement ? Il est difficile de croire que le GIEC et les médias ne sont pas au courant de cette réalité ?

 

Jean de Bloois

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29 novembre 2009

Le sommet de Copenhague. leur lutte contre le réchauffement climatique à cause du CO2.

Le sommet de Copenhague.

Leur lutte contre le réchauffement climatique à cause de l’émission du CO2 émise par l’homme.

C’est la même lutte que Don Quichotte contre les moulins !

L’Homme n’invente pas il découvre, et malheureusement quand il découvre il a souvent du mal  a comprendre et interpréter les choses,  l’article en fait la démonstration.   

Il y à quelques milliards d’années la nature invente, et pas l’homme, comment faire véhiculer un molécule de carbone dans l’atmosphère.  Ceci est indispensable pour que les feuilles des plants, des arbres, des céréales, du riz, et le maïs, puissent assimiler le carbone par la photosynthèse une procédure absolument  merveilleuse.

La solution a été, par la combustion, que se soit notre corps où en brûlant les combustibles comme le mais, blé, riz etc., ou les chaudières alimenté par l’énergie fossile, bois ou autres. Durant la procédure de combustion une molécule de carbone ‘C’, se lie avec une molécule de gaz, l’oxygène ‘O2’ prélevé dans l’atmosphère qui donne le gaz CO2, un gaz noble et indispensable pour la vie.

Par contre c’est l’homme qui semble de comprendre, que le CO2, provoquerait un réchauf-fement climatique. Notamment, les gouvernements, qui créent le GIEC « Groupe d’Experts Intergouvernementale sur l’évolution du Climat », cet organisation paye des scientifiques pour dire que c’est justement ce gaz noble et indispensable pour « la Vie » sur Terre en serait la cause.

De cette façon les responsables politiques sont couverts, et disent ce sont des scientifiques du monde entiers qui ont inventées que le CO2 est la principale raison du réchauffement climatique.

A Copenhague on développera le sujet de quelle façon, on va  lutter contre le réchauffe-ment climatique (pour sauver la Terre) en réduisant la concentration de CO2 en l’appelant un gaz toxique. Au lieu de se pencher sur la question comment peut on lutter contre le gaspillage de l’énergie fossile dont le stock va vers l’épuisement dans quelques dizaines d’années.

(Les scientifique du GIEC qui ont pondue cette histoire, permettent de cette façon que les politiques imposent la «  taxe carbone », et  on peut déjà spéculer sur l’émission de CO2 en bourse en créant encore une valeur fantaisiste perturbateur que l’on n’a pas besoin dans la crise économique actuelle,  ni après non plus d’ailleurs).

Y a-t-il un réchauffement climatique réel ? Au premier vu, « OUI » à certains endroits sur la Terre, a d’autres le contraire se produit, Est-ce que s’agit il d’un réchauffement durable ? Selon certains spécialistes en la matière, « non » ils pensent que ça va plutôt vers un période de glaciation.

Au Pays Bas, l’Université de Wageningen a constaté qu’actuellement on reçoit 482 heures de soleil de plus qu’il y a 80 ans, soit 1h15 par jour, ceci explique clairement le réchauffement climatique, qui est au Pays Bas de 0,9 °C.

Cependant en France à Orléans précisément j’ai constaté à peu près la même tendance ceci pour mon étude « l’autre approche sur le fonctionnement du climat terrestre ». En Bourgogne les raisins sont quelques semaines plus tôt à maturité a cause du nombre d’heures d’ensoleillement par rapport au passé, ceci n’a aucun rapport avec l’émission du CO2 industriel.

Il ne faut pas confondre le CO2 où COdeux avec COdieu, la science n’est pas une religion. Les scientifiques qui imposent le réchauffement climatique modèle « GIEC » n’ont pas un argument thermo-physique qui permet que ce soit le CO2 qui réchauffe le climat d’une façon mesurable.

C’est simplement lorsque en simulent un modèle climatique dans leurs ordinateurs hyper puissant, en introduisant seulement 0,0365% de CO2 comme facteur dominant pour le climat, ils oublient 99,9635 % des gaz atmosphériques, et obtiendront de cette façon leurs réchauf-fement climatique de 2,4 à 6 °C dans cents ans à venir.

Il y a une autre façon de voir la réalité. A la surface de la Terre on constate une température moyenne minimum de -18°C et une moyenne maximum de 15 °C, soit un ∆ T de 33 °C en respectant les caractéristiques thermique de l’air atmosphérique, il faut que la masse atmosphérique qui entour la Terre est de 5 100 000 milliards de tonnes, et ceci est pré-cisément le cas, au kg près. L’hasard ? Non, ça n’existe pas dans la nature.

Ceci signifie que tout les gaz composant l’atmosphère contribuent selon leurs caracté-ristiques a nous protéger contre le trop de rayonnement solaire et la rémission nocturne vers le – 273 °C. Le 0,0365 % de CO2 a précisément un impact de 0,016 °C dans le bilan clima-tique. Ceci explique aussi que il n’y pas de gaz a effet de serre il à l’effet de l’atmosphère.

A titre d’indication sur la lune qui tourne a la même distance autour du soleil  que la Terre où il n’y a pas d’atmosphère on mesure dans les roches 130°C coté soleil, et le coté opposé – 230 °C. Et c’est exactement l’atmosphère avec sa masse de  5 100 000 milliards de tonnes qui nous permet de vivre si confortablement sur la planète nommée la Terre.

L’urgent n° 1 est de trouver l’énergie renouvelable, inépuisable, et non polluant, et sa existe !! Au lieu de se perdre dans des théories impossible, comme la légende de AL Gore.

                                                                                              Jean de Blois

 

30 septembre 2009

La taxe carbone légale ou pas ?

La taxe carbone légale ou pas ?

Premièrement s’agit-il d’une taxe de carbone ? « NON ». La taxe de 17 € est basée sur une tonne de CO2, il faut savoir que dans une tonne de CO2 il y à 27,3 % de carbone (C) et 72,7 % d’oxygène (O2). Conclusion, on va payer en réalité plutôt une taxe d’oxygène de12, 35 € /t, et la taxe de carbone est 4,65 €/t.

Le prétexte de cette taxe est de lutter contre le réchauffement climatique de 2,4 à 6 °C dû principalement à l’émission du CO2 industriel, selon le GIEC. Le laboratoire du CNRS à Paris publie sur Internet en 2003 : Ceci explique que le doublement du gaz carbonique* ne conduit qu’a un apport d’énergie suplèmentaire de 4 W/m². Ceci signifie un réchauffement du climat de 0,00142 °C.  *(l’émission du CO2 industriel)

Voici déjà deux raisons de taille contre la taxe carbone, il y a encore des dizaines d’arguments scientifiques qui confirment le non sens du réchauffement climatique dû à l’effet de serre causé par le CO2.

Sous quelle forme une taxe de carbone serait juste et utile ? La réponse est, tout simplement,  pour lutter contre le gaspillage de l’énergie fossile, dont le stock à cette cadence de gaspillage sera épuisé dans 25 à 35 ans. Et dans ce cas une taxé uniquement sur le carbone présent dans le gaz CO2. Cette taxe devrait être utilisée pour développer des énergies nouvelles renouvelables efficaces.

Car ce n’est pas l’énergie solaire captée à la surface de la Terre, au dessus de la 35 ème latitude qui va résoudre le manque d’énergie futur, avec seulement 65 à 80 heures par mois d’ensoleillement durant l’hiver dont aussi en Europe, non plus avec l’énergie éolienne, ni avec l’énergie nucléaire qu’est une solution à première vue moins mauvaise mais seulement à moyen terme. Quoi  d’autre alors, pour ne pas perdre le sens du sujet la taxe carbone, voyons l’énergie renouvelable, inépuisable, et non polluant, ci-dessous.

Pour savoir le rôle que joue le CO2 dans le climat, il faut savoir comment fonction l’atmosphère, thermiquement, physiquement, chimiquement et biologiquement, très peu des scientifiques ont pris la peine d’associer ces disciplines. Et ceci a conduit, à un (malentendu ?) inégalé, notamment le réchauffement climatique dû à l’émission du CO2 industriel.

Voici une explication, bref, de  ce qu’on doit savoir pour comprendre ce que les pouvoirs politiques dans le monde entier tentent de faire croire, par l’intermédiaire du GIEC à leurs contribuables.

Est-ce que le législateur a des preuves étanches pour légiférer une loi qui permet une taxe de carbone ? Aucune formule scientifique n’indique que cela est le cas, le GIEC « Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat » dit que des simulations avec des ordinateurs hyper puissant indiquent qu’en doublant la  con-centration de CO2 émise par l’homme, cela provoquera un réchauffement climatique de  2,4 à 6 °C dans les cent ans  a venir.

Est-ce que cette simulation est fiable ? Le GIEC part d’un principe que le gaz CO2 qui représent 0,037% dans les gaz atmosphériques est le gaz principal responsable du réchauffement climatique présumé et admet, entre parenthèse, que 0,352 % H2O sous forme de gaz joue aussi un certain rôle comme gaz à effet de serre.

Les scientifiques qui adhèrent au modèle GIEC, introduisent principalement 0,037 % des gaz atmosphériques, comme gaz à effet de serre, dans leurs ordinateurs hyper puissants. En se concentrant uniquement sur 0,037 %  de CO2, ce ne pas l’ordinateur hyper puissant qui va dire a Mr. les scientifiques du GIEC, vous oubliez 99,963 % de la masse atmosphérique. Et pourtant c’est le cas.

Il faut savoir que la Lune tourne en moyenne à la même distance du soleil que la Terre, et reçoit par conséquence la même quantité (au m²) d’énergie solaire, la tem-pérature coté soleil dans les roches est environ +130 °C et  -130 à - 230 °C sur le sphère opposé, soit une ∆t de maximum 360 °C. La Lune n’a pratiquement pas d’atmosphère.

La température de l’aire à la surface de la Terre est en moyenne entre – 18 et + 15 °C soit une Δ t de 33 °C. On peut en déduire que la différence entre la Terre et la lune est (360 - 33) = 327 °C.  C’est ce qu’on devrait appeler « l’effet de l’atmos-phère ».

Il est donc indispensable de se demander pourquoi l’atmosphère a une masse de 5 100 000 milliards de tonnes. L’air atmosphérique* en faisant un calcul, les 5 100 000 milliards de tonnes d’air atmosphérique coïncident exactement avec le Δt de 33 °C. (*avec une chaleur spécifique de 1000 joules/kg/K)

Ceci est une preuve irréfutable qu’il faut abandonner l’idée ridicule des « gaz a effet de serre » mais adapter l’idée « gaz à effet d’atmosphère ». Tous les gaz, sans exception, composant l’atmosphère selon leurs caractéristiques thermiques et physiques, protègent la Terre contre le trop de rayonnement solaire (réchauffement) et la réémission (refroidissement) nocturne vers le – 273 °C (K). L’atmosphère est un capteur et générateur translucide d’énergie solaire gigantesque.

A titre indicatif ; De cette façon les 78,11 % d’azote, 20,95 % d’oxygène, 0,9 % d’argon, 0,35 % de H2O, et ensuite seulement les 0,037 % de CO2, absorbent et réémettent selon leur spectre d’absorption en rayons solaires électromagnétique  infrarouges, jouent leurs rôles spécifiques comme gaz à effet d’atmosphère.

Par exemple le 20,95 % d’oxygène absorbent dans les spectres à haute intensité énergétique (0,76 µm) thermiques 21,13 % d’énergie solaire et garantissent dans le bilan climatique 6,99 °C et le CO2 absorbe et réémet dans les spectres a basse intensité de 10 et 15 µm, seulement 0,04 % d’énergie.

Le CNRS confirme d’une certain façon le raisonnement du fonctionnement de l’at-mosphère ci-dessus en publiant les valeurs suivants; Les chercheurs du Laboratoire de Météorologie Dynamique du CNRS à Paris, notamment Mrs. Bernard Legras, Jean Dufresne et Gérard Megie répondent a la question en 2003 :

Ceci explique que le doublement du gaz carbonique de 350 à 700 ppmv ne conduit qu’à un apport d’énergie supplémentaire de 4 Wm² alors que l’effet actuel (350 ppmv)  est d’environ 50 W/m². »

Le soit disant  « effet de serre » modèle GIEC, est selon le CNRS 4 W/m², ce n’est même pas l’énergie que produit un bougie d’anniversaire. Réchauffer l’atmosphère de 10 130 kg/m² (pression atmosphérique), de  2,4 à 6 °C avec une bougie d’anniversaire au mètre carré, relève d’un non sens absolu. Les 4 W/m² provoqueront une augmen-tation théorique de seulement 0,00142 °C.

Non seulement le CNRS arrive à cette résultat, mais aussi le ACMG à Agen  indique que  dans le spectre de 10 µm (à ± 15°C) le CO2 absorbe et réémet 6 à 7 W/m².

Il est désormais compréhensible que ce soit illogique de faire croire aux gens, qu’une source d’énergie avec une intensité énergétique extrêmement faible notamment la réémission infrarouge de la surface terrestre, et un gaz présent en infime quantité dans l’atmosphère, nommé CO2, réchauffe  5 100 000 milliards de tonnes d’air at-mosphérique.

Si le GIEC n’a pas d’autres éléments à produire que l’effet du CO2 dans le bilan climatique, la « taxe de carbone » est illégale.

Une action pour réduire la consommation d’énergie fossile serait ; de réduire le gaspillage d’énergie des habitations de  ± 250 à ≤ 25 kW/m²/an en 5 ans, réduire la consommation des voitures à ≤ 4 litres par 100 km, et le trafique en ville uniquement avec des voitures électriques, seraient une bonne mesure, et en même temps un moteur économique utile gigantesque.

Sur le plan mondial tous les pays qui se trouvent entre les latitudes de 35° des deux côtés de l’équateur il y a suffisamment d’énergie solaire pour réduire la consom-mation d’énergie fossile de 80 %, indépendamment du niveau de vie.

Faire payer par exemple une taxe sur la consommation excessive, des yachts qui brûlent 200 à 1000 litres et même plus d’énergie fossile par heure, des avions privés etc. arrêter les Grand Prix et les rallyes d’automobiles sont des interventions qui responsabilisent d’avantage le grand public contre le gaspillage de l’énergie fossile.

L’idée de captage et stockage du CO2 industriel avec des installions très coûteuses pour soit disant lutter contre le réchauffement climatique, selon le CNRS 4 W/m², est un projet absolument inutile, sur le plan environnemental ainsi qu’économique.   

Une histoire comme, réduire les gaz à effet de serre pour sauver la planète avec un effet de serre de 4 W/m², peut être considéré comme une pollution psychologique, et frustre beaucoup de gens braves et honnêtes. Un créneau bien exploité par Al Gore, honoré avec un prix Nobel et une fortune en $. 

L’énergie renouvelable inépuisable et non polluante, la plus évidente est de capter l’énergie électromagnétique photovoltaïque à la limite de l’atmosphère, le Soleil produit l’énergie qui éclaire et réchauffe tout le système solaire. Donc pourquoi les bientôt 9 milliards d’homme sur la Terre ne s’en servent pas ?

L’atmosphère absorbe et filtre les photons susceptibles de produire l’électricité absorbée par des capteurs photovoltaïques solaire, l’intensité d’énergie photo-voltaïque se trouvent dans, les rayons UV qui sont filtré par la couche d’ozone (O3), dans les rayons lumineux l’intensité est également très élevé, mais perte d’intensité en traversant l’atmosphère, dans les rayons infrarouges l’intensité décroît mais il y en’ a beaucoup plus que l’on pense.

Ceci explique qu’à l’extrême de l’atmosphère on peut capter selon la qualité des panneaux solaires le maximum d’énergie photovoltaïque, et par conséquence beaucoup plus qu’indique la supposée constante solaire de 1365 Wm² retenue. Cette constante ne concerne que les rayons lumineux.

Actuellement avec un développement scientifique réel, une meilleur connaissance de la matière de captage d’énergie photovoltaïque, et la nano technique, il serait intéressant d’activer la recherche de l’énergie solaire photovoltaïque en altitude, ou à mon avis seulement en captant X % de l’énergie photovoltaïque, disons 9 kW/m², disponible 24/24 h, résoudra le problème énergétique mondiale.

Sur le plan pratique, l’homme à déjà des expériences de captage d’énergie photo-voltaïque avec des satellites spatiaux, le transport de l’énergie électrique par micro-ondes est déjà réalisé dans l’île de la Réunion, une réalisation timide mais réelle.

Non seulement nous disposons d’un énergie renouvelable, inépuisable et non pol-luant, mais en posant les capteurs aux endroits  ou il y a de la demande, soit des régions industrielles, ou des concentrations de population, il n’y a plus besoin le transports de l’énergie fossile, notamment le transport maritime de pétrole, ni le transport routière, ni les pipe-lines de gaz et pétrole qui traversent des pays non coopérants, il n’y a plus de pays producteur d’énergie fossile qui peuvent exercer des menaces de rupture de fournitures. Bref, un autre monde s’ouvre.

Les crises économiques et financières sont en grand partie dues a un manque de dyna-misme et donc des projets utiles, le développement de l’informatique et téléphonie à été un moment un moteur économique, mais pas à 100% utile. Produire l’énergie en altitude est un projet gigantesque et utile sur toute la ligne.    

L’alternative est l’énergie nucléaire par fusion, le projet d’ITER à Cadarache, le problème de cette idée est, que l’hydrogène est un carburant de reconstitution et à besoin de l’énergie pour la production, la combustion à lieu à une température de plusieurs millions de °C, dont les ingénieurs n’ont pas encore trouvé la solution d’application !!!

Quelques mots sur le supposé réchauffement climatique, non scientifique, simple-ment par observation. Est ce qu’il y a un réchauffement  durable réel ? On constate que dans certaines régions de la Terre il y a en effet un réchauffement et dans d’autres le contraire est constaté.

Actuellement le Groenland (Pays Vert) est couvert de glace, Les Vikings en quête de terres à cultiver émigrent à Groenland il y a mille trois cents ans. L’Island (pays de glace) a été couverte de glace et vert actuellement, donc bien avant l’ère industrielle  et l’émission du CO2, il y avait des changements de climat. 

Une autre exemple, au Pays Bas on a constaté qu’actuellement le soleil brille 420 heures par an de plus qu’il y a 80 ans, soit 1h15 de soleil par jour en plus, ceci selon l’Université de Wageningen. En France selon mes propres informations à Orléans de 1960 à 2003 on  a enregistré 21 % d’énergie solaire supplémentaire, et la tem-pérature  a en moyenne augmentée 1,1 °C, la concentration de CO2 n’a pas pra-tiquement pas évolué durant les 43 ans.

En tirant une conclusion prudente, y a t’il un réchauffement, dans certaines régions de la Terre « oui », et un refroidissement ailleurs « oui », la cause probable du ré-chauffement  « la duré du  rayonnement solaire par an ». L’impact de l’émission du CO2 dans les 100 ans à venir industriel de 4 Wm² selon des données du CNRS, et d’autres, provoquera un réchauffement climatique de 0,00142 °C.

Est-ce qu’un réchauffement de 0,00142°C causé par le CO2 mérite tant d’attention ? N’y a-t-il pas de groupes d’intérêts qui comptent sur le manque de connaissances réelles concernant le fonctionnement de l’atmosphère et son influence sur la vie  en général entre autres l’homme ? 

Quelques remarques tout de même intéressant a savoir.

D’où vient le CO2 et pourquoi ? C’est le produit de la combustion, de l’atome de carbone (C), présent dans les combustibles fossiles, qui se lie avec une molécule d’oxygène (O2)è CO2, prélevé dans l’atmosphère. Ces procédures se produisent sur tous les niveaux, dans notre corps, dans les plantes, un feu de bois une centrale thermique de production d’électricité, etc.

Pour que les plantes, arbres, céréales, légumes, fruits et algues dans les océans, bref la vie en général   poussent par l’intermédiaire de la fameuse photosynthèse, il faut du carbone, mais le carbone est une matière solide, la nature a inventé la combustion ou le carbone s’associe avec un molécule de gaz O2, pour en faire une gaz 

De cette façon les feuilles captent le carbone dans le CO2 présent dans l’air atmos-phérique  et la photosynthèse avec l’énergie solaire transforme les carbones en su-cres et ensuite en hydrocarbonés les combustibles pour l’homme.

Par exemple pour produire 1 kg de blé ou de riz, la plante capte 15 à 18 kg de CO2 dans l’air atmosphérique, quand on fait un bilan global de l’émission industrielle en CO2 et l’assimilation de l’agriculture pour nourrir les 6,5 milliards d’hommes et la végétation sauvage on constate un équilibre. On peut supposer qu’une autre source jusque à présent inconnue  est la cause de l’augmentation du taux de CO2.

Quand la concentration de CO2 à augmente de 290 à 370 ppm (parts par million) en 120 ans soit 24,3%, la population humaine à augmenté aussi de 1 milliard à 6,5 milliards dans la même période, l’explosion démographique est 650 %, et on suppose qu’en 2050 on auras 9 milliards de gens a nourrir.

Un sujet à approfondir, est ce que c’est l’homme qui a fait augmenté la con-centration de CO2 ? C’est un piste a étudié, mais l’influence thermique et donc le réchauffement climatique est à exclure (ci-dessus). Ce qui est sur, plus de CO2 fait croître la végétation dans certains cas jusqu'à 35 %, par conséquence, plus d’ombre, et qui provoque son tour  un refroidissement climatique.

                                                                                              Jean de Blois.

2 avril 2009

L'Effet de serre: Quel effet?

Date 30 janvier 2009

« L’Effet de serre » 

Quel effet ?

Un sujet complexe et sensible donc difficile à aborder, il faut avoir une certaine connaissance en physique, thermique, chimie, biologie, climatologie météorologie et un sens d’observation de ce qui se passe autour de soi, et être politiquement objectif. Les experts qui annoncent le réchauffement climatique de 2,4 à 6 °C ont-ils toutes ces qualités ?   

Quand les pouvoirs politiques créent l’IPCC ou en français  GIEC « Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat » avec comme cahier de charges de créer un climat autour de l’idée de « l’effet de serre », avec le CO2  comme principal responsable dans un réchauffement climatique durable, il y a de quoi philosopher. 

Le but de cet article, le résultat d’une étude approfondie, n’est pas de faire de la politique mais malheureusement la politique et la science se sont confondu dangereusement. Je tente simplement de les démêler, avec des arguments scientifiquement objectifs et fiables et surtout vérifiables.

Quand les pouvoirs politiques essaient de réduire l’émission du CO2, c’est une bonne mesure, ça signifie réduire le gaspillage de l’énergie fossile, et, ils démontrent qu’ils sont conscients que la fin de l’ère de l’énergie fossile s’approche. Mais par contre ils n’ont pas encore trouvé l’énergie remplaçante renouvelable, inépuisable et non polluante, et ne sont pas prêts à la trouver de façon à traiter le sujet. Pourtant cette énergie existe !! (Voir ci-dessus)

Un réchauffement climatique durable c’est d’abord un sujet purement scientifique, notamment « thermo physique » et une fois obtenus des résultats fiables, des mesures environnementales, économiques et politiques s’imposeront.

Les résultats essentiels sont connus, mais bizarrement l’IPCC/GIEC n’en fait rien. Dans le Laboratoire de Météorologie Dynamique du CNRS à Paris on a constaté que l’impact du CO2, actuellement contenu dans l’atmosphère, sur le climat est 50 Wm² et l’impact d’un doublement du à l’émission industrielle future ne sera que 4 Wm².

Selon l’ACMG, centre de recherche à Agen, les chercheurs ont constaté que l’im-pact actuel du CO2 dans le climat  est 6 à 7 W/m², c’est à dire, la surface de la Terre réémet l’énergie solaire infrarouge reçue, vers l’espace dans le spectre d’environ 10 µm (15 °C) et le CO2 absorbe 6 à 7 W/m²

Selon une méthode développée par moi-même le gaz CO2 dans l’atmosphère ab-sorbe et réémet dans les spectres entre  1,4 à 5,2 µm et 2,7 à 4,3 µm,  42 Wm², ceci converge avec les résultats ci-dessus. (Pour des non scientifiques les explications compréhensibles seront données ci-dessous). 

Chaque thermicien trouvera que cette quantité d’énergie, l’équivalent de 0,4 à 0,7 gr de pétrole, en la transformant en chaleur ne provoquera qu’un réchauffement climatique d’environ 0,0014 °C. Ceci signifie que quand les pouvoirs politiques tentent de réduire l’émission du CO2 pour lutter contre un supposé réchauffement climatique durable de 2,4 à 6 °C, ils se trompent lourdement.

Quand au nom de l’émission du CO2 entropique future, de 4 Wm², on se prépare à capter et stocker le CO2 industriel, avec des installations complexes, très coûteuses et absolument inutiles, ce n’est pas difficile à comprendre que l’on jette de l’argent par les fenêtres, c’est une fausse économie, et avec la crise financière et économique sans égale, on continue à faire fausse route.

Finalement l’essentiel est dit sur le soit disant « ’effet de serre », le 4 Wm² est une donnée scientifiquement fiable,  il n’y pas une explication scientifique sérieuse qui démontre qu’avec 4 W/m² on peut réchauffer une colonne d’air atmosphérique avec une masse de 10 000 kg/m²* de 2,4 à 6 °C pourtant annoncé par l’IPCC/GIEC.        (*pression atmosphérique 1kg/cm²)

A titre indicatif, pour avoir un réchauffement climatique de ± 6 °C il faut 16,8 kW/m² en énergie. La consommation mondiale en l’an 2000, en énergie fossile, était 10,6E-6 MW (par heure) soit 0,0028 kW/m² terrestre et provoquera un réchauffement de 0,00099 °C. On constate que l’apport humain, dans le bilan climatique n’est pas mesurable.

Il est désormais  clair, que le comportement de l’homme n’atteint pas le climat global, sauf en cas de catastrophe nucléaire bien sûr, tout ce qui est écrit ci-dessous est pour expliquer comment on peut se perdre dans un « non sens » scientifique, voulu, ou par manque de réalisme.

Les scientifiques du GIEC et d’autres vont bien sûr dire, nous avons appliqué les lois et for-mules de Planck, Wien, Stefan, Kirchhoff et bien d’autres, mais dans les lois et formules de Planck, Stefan etc. ils ne prétendent pas avoir introduit la masse atmosphérique dans leurs calculs, ils ne sont donc que partiellement ou pas applicables dans l’effet de serre modèle GIEC

Avant d’abandonner le coté politique économique, l’écotaxe sur l’émission du CO2 industriel peut être une taxe juste et utile car le CO2 est un résultat naturel de la combustion de l’énergie fossile et indique la quantité d’énergie brûlée « où gaspillée », mais sous condition que cette taxe soit bien uti-lisée, par exemple la recherche de l’énergie en altitude et non pas pour capter et stocker le CO2 émis.

Tous ceux qui se permettent d’exprimer un doute sur l’effet de serre modèle IPCC/GIEC, même en étant pour la culture bio, la médecine naturelle, contre le gaspillage de l’énergie fossile, et en respectant l’environnement on est considéré écologiquement irresponsable, un sceptique, ou un négationniste.

Est-ce que peut on être un persuadé du non fondée du réchauffement climatique basé sur le modèle « effet de serre  IPCC/GIEC» basé sur le CO2 ? On devrait

Qu’est ce qui se produira au cas où toute mon étude est absolument fausse et le modèle IPCC/GIEC juste:

Nous continuons a brûler ou gaspiller notre stock d’énergie fossile et en effet émettre le CO2, même avec les dispositions envisagées les plus drastiques d’économie d’énergie, avec la Chine, l’Inde, et le Brésil, qui vont exiger leur part, on peut raisonnablement supposer que dans 30 à 40 ans le stock est épuisé. Et par consé-quent l’émission de CO2 aussi.

L’assimilation en CO2 par la photosynthèse de la végétation sauvage et agricole est largement supérieure à l’émission industrielle. On constate donc qu’aussi sur le plan biologique il n’y pas une raison d’adhérer au modèle IPCC/GIEC.

Le temps de vie d’une molécule de CO2 est 100 à 120 ans, chaque année environ 1%, soit 2,86E+10 tonnes/an de ce gaz s’autodétruise dans l’atmosphère. C'est-à-dire la molécule de « C » se dissocie de l’ O2, et n’est donc plus un gaz et retombe, la molécule O2 reprendra sa place comme gaz atmosphérique. L’émission de CO2 en-tropique est environ 2,3E+10 tonnes/an on peut donc parler d’un équilibre.

On a beau chercher dans tous les sens, malgré des équilibres, la teneur en CO2 dans l’atmosphère augmente incontestablement, il faut chercher la source de cette production, et le pourquoi. Au lieu d’en tirer hâtivement des conclusions comme la légende de « l’effet de serre »  qui est manifestement faux dans les tout les détails.

 

Pourquoi l’effet de serre et non pas directement l’effet de l’atmosphère ?

Les scientifiques ont inventé « l’effet de serre » car jusqu’à ce jour, ils n’ont pas fait l’effort de comprendre le principe du fonctionnement thermo- physique de l’atmos-phère. Il y a un trou de 99 %  en connaissance et en matière.

L’atmosphère est  le protecteur et régulateur thermique et physique entre la surface terrestre et les influences solaires d’un coté et l’espace de l’autre, à la surface du soleil il y a une température de  ± 6000 °C qui émet ses rayons vers la Terre, et à l’opposé le refroi-dissement par rayonnement vers l’espace ou il y a quelque part une température de – 273 °C. C’est pour cela que l’atmosphère à une masse 5 100 000 milliards de tonnes d’air soit ±10 000 kg/m². La Terre et son atmosphère se déplacent avec une vitesse de 620 km/sec. par rapport à un point donné dans l’espace et joue par conséquent aussi un rôle mesurable dans le refroidissement.

A titre indicatif, pour que la température à la surface de la Terre augmente de 6°C, selon le scénario du GIEC, la masse de l’atmosphère devrait être ± 6 000 000 milliards de tonnes, dont pression une atmosphérique de 11,76 kg/cm², en maintenant la même composition, la même puissance solaire et à la même distance du soleil. Les trois conditions sont incompatibles

Il y a un choix à faire, ou on se concentre sur 0,037 % de gaz, le CO2, comme l’IPCC/GIEC, ou on se concentre sur l’ensemble des gaz composant l’atmosphère  notamment 78% de azote, 21 %  d’oxygène, 0,03 % de H20 en état de gaz, 0,93 % d’argon et entre autres les 0,037 % de CO2.

L’approche retene est basée sur l’ensemble des gaz atmosphériques et le résultat ouvre des perspectives assez intéressantes, de cette façon le 1,18E+15 tonnes d’oxygène et le 3,86E+15 tonnes d’azote  jouent aussi leur rôle dans le climat ce qui me semble hautement logique et permet de constater que l’énergie renouvelable, inépuisable et non polluante existe (ci-dessous) Mais qui exclut l’idée de l’effet de serre modèle IPCC/GIEC définitivement.

D’ailleurs, un thermomètre mesure et indique la température de l’ensemble  des gaz atmosphériques, (et non pas uniquement les gaz à effet de serre au cas où ils existeraient). La question fondamentale qui se pose est, comment sont il chauffés : Par le soleil ou par la surface de la Terre ? La réponse est, forcément par les rayons solaires, et notamment les rayons infrarouges.

J’en suis désolé, mais il faut faire un peu de « science réalité» indispensable.  Le soleil émet son énergie en ondes électromagnétiques qu’ont dans tous les spectres une vitesse de 300 000 km/sec. Les spectres de 0,1 à 0,4 µm (micromètres) sont appelés les ultraviolets,  de 0,4 à 0,78 µm les spectres visible, et  en suite  les rayons infrarouges porteurs d’énergie sensible en chaleur dans les spectres de 0,78 à 3 µm. Le soleil émet encore des IR jusque à 30 µm, mais l’intensité est extrêmement faible, c’est aussi l’avis de M. Pierre Pédelaborde Professeur de climatologie à la Sorbonne et auteur de plusieurs livres.

Il y a une lois physique qui dit ; Toutes les matières sans exceptions, solides, liquides ou gazeuses exposées aux rayons électromagnétiques solaires ont un spectre d’absorption et réémission dans l’infrarouge proche et / ou lointain, c'est-à-dire il y a une transition énergétique par la vibration des molécules, mais dans des spectres différents selon la matière.

Les « pro effet de serre », l’IPCC/GIEC, certains responsables chez Météo France, le CNRS, le NASA et des personnes comme Mrs. Jancovici, Jean Jouzel, Al Gore, Nicolas Hulot et le (photographe talentueux) Jean Arthuis Bertrand etc., suivis par la majorité des médias, tentent de faire croire avec succès d’ailleurs, que prin-cipalement le 0,037 % de CO2, apporte suffisamment d’énergie pour réchauffer le 78,11 % d’azote et le 20,95 % d’oxygène soit une masse de 9 860 kg/m² présente dans l’atmosphère Voyons cette croyance plus près.

En lisant la phase ci-dessus, sans être scientifique, l’illogique saute aux yeux, un gaz pesant 5,6 kg/m² qui réchauffe une autre matière (gaz) pesant 9 860 kg/m² de 2,4 à 6 °C, soit 18 %, avec 4 à 7 W/m², un gaz  avec des telles caractéristiques thermiques et physiques n’est pas encore découvert dans le système solaire.

Malgré cela Mr. Laurent Li du CNRS chargé de recherches du Laboratoire Météorologique Dynamique à Paris, dit a propos de l’effet de serre basé sur des données du GIEC ; 

« Il est intéressant de noter ici que l’atmosphère n’est pas directement chauffée par le soleil venu du haut, mais plutôt par la surface (de la  Terre) » et ensuit il écrit : « l’azote 78 % et l’oxygène 21% n’ont pratiquement aucun rôle dans le bilan énergétique de la Terre.

M. André Berger  dans son livre « Le Climat de la Terre » à la page 209 dont je vous épargne le texte, explique d’une façon scientifique, la philosophie avec des formules scientifiques notamment la formule de Stefan-Boltzman  E = σT4 a l’appuis, M. Berger tente aussi de faire valoir que c’est la surface de la Terre qui émet 153 Wm² et réchauffe 98,06 % des gaz atmosphériques et ignore par conséquent que les gaz comme l’oxygène et l’azote absorbent et réémettent les rayons infrarouges dans les spectres IR hautement chargés (Ci-dessous)

Qu’est ce que c’est l’effet de l’atmosphère » ? La réponse ou preuve scientifique n’est pas compliquée à comprendre et le résultat est ; Toutes les gaz composant l’atmosphère sont chaque jour réchauffés par le soleil et refroidis la nuit, pour garantir une ∆T de 33 °C (-18 + 15°C) à la surface de la Terre  il faut 5 100 000 milliards de tonnes d’air atmosphérique pour garantir ce résultat. Soit environ 10 000 kg/m² et pour réchauffer 10 000 kg d’air à 33 °C il faut en énergie 92,5 kW/m² et notamment l’énergie solaire.

La Terre  réémet l’énergie infrarouge absorbée par exemple au pôle nord et sud dans des cas extrême à ± 13 µm (-50°C), dans les déserts à ± 8,9 µm (+50 °C), et en moyenne à 10 µm (15 °C ou 288K) vers l’espace (– 273 °C selon la lois de Kirchhoff), et voila le supposé « effet de serre » se joue dans les spectres considérés comme extrêmement faibles.

Les scientifiques de l’IPCC/GIEC prétendent pouvoir réchauffer le climat donc l’atmosphère (10 000 kg/m² d’air) avec principalement 0,037 % de gaz (CO2) dans un spectre ou l’intensité est extrêmement faible, et même jusque à 6°C.

Personnellement, j’ai tenté des dizaines de fois de réaliser l’expérience dans des vraies serres, (surface de 10 000 m² à  80 000 m²) en étant responsable d’un bureau d’étude en climat sous serre, en dosant le CO2 jusque à trois fois la dose naturelle  soit ± 1100 ppm, le réchauffement a été 0,00 °C, soit pas mesurable

Pour ne pas noircir des tonnes de papier allons au but, j’ai trouvé selon une méthode spécifique que le 370 ppmv de CO2 (soit 5,6 kg dans le 10 000 kg/m² d’air atmosphérique) absorbe et réémet  42 Wm² * d’énergie dans le bilan climatique. Sur le plan thermique le CO2 représente  0,0145 °C.

Scientifiquement rien n’est sûr sans avoir une ou plusieurs confirmations sérieuses et pour ceux que cela intéresse, trouveront les sources ci-dessous.

Des chercheurs du Laboratoire de Météorologie Dynamique du CNRS à Paris, notamment Mrs. Bernard Legras, Jean Dufresne et Gérard Megie qui répondent a une question en 2003 : Ceci explique que le doublement du gaz carbonique de 350 à 700 ppmv ne conduit qu’à un apport d’énergie supplémentaire de 4 Wm²  alors que l’effet actuel (350 ppmv)  est d’environ 50 W/m². » (* Donc pas loin de 42 Wm² ci-dessus)

Ou l’ACMG, (Centre expérimentale Climat  de la filière fruits et légumes du bassin du Grand Sud-Ouest) a trouvé que le CO2 absorbe et réémet 6 à 7 W/m² à +/-10 µm  donc à environ 15 °C. Voila c’est le 6 à 7 Wm² qui doit provoquer le réchauffement du climat de 2,4 à 6 °C selon le GIEC et augmenter le niveau des océans jusque à 6 m dans les cent ans à venir.

L’erreur essentielle de l’effet de serre, modèle GIEC/Arrhenius, est notamment l’idée que le soleil ne réchauffe pas les gaz en dehors les gaz (considérés) a effet de serre dont l’H2O le CO2 et le CH4.   Et pas les autres 99 %, ceci est en totale contradiction  avec la loi physique ci-dessus et empêche de trouver l’énergie renouvelable indis-pensable pour l’humanité.

Il est constaté dans les vraies serres qu’avec le sol ombré par la végétation, le soleil réchauffe tout de même l’air. La loi physique (ci-dessus) qui dit que les rayons solaires IR réchauffent aussi les gaz, et M. Laurent Li écrit que 99 %, l’oxygène et l’azote, des gaz atmosphérique ne sont pas réchauffés par le soleil, il devrait dire pas dans le spectre de 10µm, mais il omet de le dire où il ne sait pas que l’oxygène (O2) comme l’azote (N2) sont forcément chauffés par le soleil dans une autre spectre. Tout de même, un peu brouillon, pour un scientifique responsable.

   

Par exemple pour l’oxygène (O2) les spectres d’absorption se situe entre 0,759 et 0,767 µm* cela veut dire que les photons dans ce spectre, réchauffent  les 2 322 kg/m² d’oxygène (sur les 10 000 kg/m²) directement. (* Selon des mesures effectuées par un appareil de mesure de la diode laser de « Vaisala »  site www.vaisala.fr)

Une dernière précision, « l’effet d’atmosphère » est une  action thermo-physique, qui a son effet sur le climat terrestre, les modèles climatiques sur des ordinateurs superpuissants et hyper coûteux sont programmé principalement par des climatologues et météorologues, qui n’ont probablement pas introduit que toutes les gaz composant l’atmosphère sont chauffés par les rayons électromagnétiques infrarouges et réémis ensuite. Et que l’azote présent pour 78 % absorbe et réémet 72,8 kW/m², l’oxygène 19,6 kW/m², le H2O en tant que gaz  0,299 kW/m², le CO2 seulement  0,042 kWm², et aussi selon le CNRS « 0,004 kW/m² » pour l’émission  future de CO2, le temps que le stock de l’énergie fossile s’épuise.

Si ces messieurs de l’IPCC/GIEC, qui selon l’évangile de AL Gore, accusent l’homme d’être le destructeur de la Terre à cause de ses émissions de CO2, qu’ils introduisent les valeurs ci-dessus dans leurs ordinateurs ultra puissants, alors l’ordinateur ultra puissant déclarera l’homme « non coupable ».

Pour éviter tout malentendu, je ne dis pas qu’il n y a pas un réchauffement climatique, momentané ou durable mais il n’y pas un élément qui permet de dire que ce soit à cause du CO2. Et s’il y a un réchauffement durable, les scientifiques de l’IPCC/GIEC ont intérêt à en découvrir la vraie raison pour que l’homme s’y prépare.

Le résultat le plus important de mes recherche à mon avis est ; Du fait que le soleil réchauffe tous les gaz  atmosphérique sans exception et réémet son énergie ensuite  vers l’espace le soleil doit émettre au moins 92,5 kW/m² (par heure), et non pas 1,37kW/m²  « le constante solaire So » retenu par les pro effet de serre, à l’extrême de l’atmosphère. Une énergie exploitable et suffisante pour répondre à la demande énergétique mondiale actuel et future. Voila notre énergie renouvelable, iné-puisable et non polluante.

Si le sujet vous intéresse veuillez consulter,  « co2etclimat-canalblog.com »

Jean de Bloois

28 novembre 2008

Toutes les réponses sur le changement(réchauffement) climatique:

Réchauffement climatique ou variation climatique naturelle ?

Pour savoir et comprendre s’il y a un réchauffement climatique à cause du CO2 industriel par «l’effet de serre» il faut avoir une réponse sur les questions ci-dessous avec des valeurs mesurées et chiffrées sur certaines.

Pour en savoir plus cliquez:

questionnaire_rechauffement_climatique

8 mars 2007

L'énergie renouvelable, inépuisable . .

Dans ce blog vous trouverez:

*  L'énergie renouvelable, définitive,inépuisable et non polluante . . .

*  Quelle  rôle joue l'homme dans le climat terrestre . . .

*  CO² and Global Warming, according to the Kyoto Protocol and an alternative view . . . .

*  Le CO² et le réchauffement du climat, vu par l'IPCC/GIEC et l'autre approche . . .

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Le COP21, la démonstration d'un échec
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