Ma Théorie
Le CO² et le réchauffement du climat, vu par l’IPCC / GIEC, et l’autre approche.
Que signifie pour la plupart des gens l’expression « l’effet de serre » ? Probablement peu de chose. En réalité il s’agit d’une erreur scientifique fondamentale, on a voulu probablement dire « l’effet de l’atmosphère », une masse d’air de 5 101 000 milliards de tonnes, qui a très peu de similitude avec une simple serre.
L’ IPCC, ou GIEC en Français (institut crée sous l’égide de l’ONU en 1998) se basent sur les données ci-dessous. De nombreux scientifiques et penseurs s’opposent aux arguments du GIEC, mais n’ont pas les données scientifiques appropriées pour le contredire.
Dans ce présent article vous trouverez les extraits d’une étude comportant des arguments qui contredisent les données du GIEC, suivant des observations réelles, ainsi que des formules scientifiques applicables et des mesures réelles.
° GIEC ; Depuis 1880 il y a un réchauffement du climat, la température a augmenté d’environ 0,6 °C.
Ceci est une donnée discutable car avec un thermomètre classique à mercure il est difficile de mesurer la température à un dixième de degré près. Les stations météo n’étaient pas nombreuses, mal réparties sur la planète, et les stations de mesure non standardisées. Disons qu’il y a une tendance d’augmentation.
° GIEC ; On prévoit un doublement du taux de CO² a cause des émissions industrielles d’ici à 2100.
Il y a 60 ans les scientifiques ont commencé à prendre des mesures de taux de CO² d’une façon primitive, rien n’était vraiment précis. Ces résultats montrent que, comme les températures le taux de CO² est également en hausse notamment 285 ppm en 1880 et environ 365 ppm en 1980. Depuis, les taux varient mais la progression stagne.
En 2000 on a créé le réseau de mesure RAMCES (Réseau Atmosphérique de Mesure des Composés d’Effet de Serre) simplement pour mettre un peu d’ordre dans les données de mesure de CO² sur un niveau international.
Dans environ 50 ans l’énergie fossile sera épuisée, l’émission industrielle du CO² s’arrêtera automa-tiquement. La durée de vie d’une molécule de CO² est en moyenne de 120 ans, ceci signifie que chaque année 19,6 milliards de tonnes de CO² se dissolvent naturellement dans l’atmosphère, soit 3 fois l’émission industrielle annuelle.
° GIEC ; Le dioxyde de carbone (CO²) est opaque aux rayons électro-magnétiques infrarouges et c’est le CO² qui augmentera la température de 2,4 à 5,8 °C. dans les 100 ans à venir. « L’effet de serre »
Ceci n’est pas une réalité. Il faut plutôt continuer à se baser sur « l’effet de l’atmosphère » avec une masse de 5 100 000 milliard de tonnes, composés de disons 6 gaz différents, étant infiniment plus complexe qu’une serre, et fonctionnant différemment.
Le IPCC/GIEC compare les vitres d’une serre avec le CO² dans l’atmosphère, les vitres ou le CO² sont selon eux opaques aux rayons infrarouges. Mais en réalité les vitres et le CO² ne sont que partiellement opaques aux rayons infrarouges.
La preuve formelle est justement que dans les serres**, qui servent à produire des légumes et des fleurs, on constate que le contraire se produit. Pour qu’il y ait végétation donc photosynthèse, il faut du CO², de la lumière, donc des rayons électromagnétiques solaires, de l’énergie qui chauffe l’air et des rayons électromagnétiques infrarouges indispensables pour la photosynthèse.
** ( Il y a environs 20 000 ha de serres repartis dans le monde entiers équipés avec d’ordinateurs de réglage du climat en fonction de la luminosité, de la température, taux de CO², de hygrométrie etc.)
Dans les serres la production végétale est très supérieure à la production en plein champ car on contrôle le climat, on augmente le taux de CO² et les vitres laissent passer les rayons infrarouges pour enclencher la photosynthèse.
° GIEC ; La réémission de l’énergie solaire captée à la surface de la Terre soit 390 W/m², est transformé en énergie infrarouge qui est ensuite captée et reflétée par les Gaz à Effet de Serre principalement le CO².
La réémission de l’énergie de 390 W/m² en infrarouge n’est pas une réalité ; le bilan annuel de la réémission de la Terre est de 0,00 W/m². L’énergie captée en été est retransmise en hiver à l’atmosphère. Des mesures et des observations simples à réaliser confirment le 0,00 Wm². (Expliqué dans l’étude initiale)
° GIEC ; L’énergie reçue à l’entrée de l’atmosphère appelé S.O. est de 1 370 W /m²
Le SO de 1370 W/m² n’est pas une valeur inventé par la GIEC/IPCC la plupart des scientifiques l’appliquent. Probablement l’erreur principale de l’idée « l’effet de serre » vient du SO à 1370 W/m². L’explication est la suivant, en se basant sur la pression atmosphérique de 1kg/cm², la pression atmosphérique sur 1 m² est de 10 000 kg. Le Soleil par conséquent réchauffe une masse d’air de 10 000 kg/m² de – 18 à 15 °C (Δ t. 33°C).
Un thermicien trouvera en faisant le calcul à partir des valeurs ci-dessus un SO de 91 542 W / m². Aux scientifiques qui soutiennent la théorie de « l’effet de serre », d’ou vient la différence entre 91 542 - 1370 = 90 172 W/m² ? 90 712 W /m² étant l’énergie manquant pour réchauffer les 10 000 kg d’air atmosphérique.
Pour se faire une idée de ce que représente 1370 W, c’est l’énergie dont on à besoin pour chauffer une cuisine de -8 à 20 °C, imaginons un radiateur de 1370 W à l’extrémité de l’atmosphère donc à 80 km ; l’influence au niveau de la Terre n’est pas mesurable. Pourtant selon le GIEC/IPCC il reste en-core 390 W/m² qui arrivent à la surface de la Terre, ayant traversé et réchauffé les 10 000 kg/m² d’air atmosphérique.
Un des problèmes prioritaires de notre époque, est l’énergie. Le gaspillage de l’énergie fossile est en effet très inquiettant. La meilleure façon d’économiser l’énergie est de rendre les consommateurs conscients du fait que dans 40 à 50 ans il n’y aura plus d’énergie fossile, et, de savoir qu’il n’existe à ce jour pas l’énergie de remplacement suffisamment importante et viable à l’échelle mondiale.
Le GIEC/IPCC était t’il crée pour lutter contre le gaspillage d’énergie, ou pour lutter contre « le réchauffement du climat » ? Si c’est pour lutter contre le réchauffement du climat à cause du CO², on doit donner raison aux sceptiques, entre autres ; Michael Crishton, Fred S.Singer, Claude Allègre, Marcel Leroux, Aroun Tazief et beaucoup d’autres.
En accusant le CO² comme principal acteur dans le réchauffement du climat, le GIEC/IPCC ayant une influence non négligeable sur les médias, a réussi petit à petit à ce que le CO² soit devenu pour les gens et pour un grand nombre de scientifiques, (ceux sont pourtant sensées chercher, connaître et révéler la réalité des choses), un gaz toxique.
Pourtant sans le dioxyde de carbone « il n’y pas de vie sur notre Terre », pas de végétation, pas d’arbres, pas d’ombre, pas d’énergie fossile, pas de poissons pas d’animaux, pas d’êtres humains, pas de problème d’énergie, pas de problème de pollution, rien du tout.
Bref une Terre vide, plus chaude côté Soleil plus froide le côté opposé ; donc vive le CO² ! Nous l’avons dans notre atmosphère, mais toutes les bonnes choses ont leurs limites, la limite minimum est de 300 à 365 ppm (parts par million) le taux actuel, la limite maximum pour la végétation est d’environ 5 fois le taux naturel, c'est-à-dire 1800 ppm. La limite pour les êtres humains est à 4500 ppm de CO². Donc il y a de la marge !
A 1800 ppm de CO² la végétation accroît considérablement, suivant les essais scientifiques jusqu’à 35 %, dû à la photosynthèse c'est-à-dire, les feuilles assimilent le CO² présent dans l’air atmosphérique et transforment le CO² en sucres et en ensuite en hydrate de carbone la base de notre nourriture.
Le rôle thermique, que joue le CO² dans le climat est un sujet relativement complexe mais pas compliqué, c'est-à-dire en doublant le taux jusque à 730 ppm ce qu’avance le GIEC/IPCC la température à la surface de la Terre n’augmentera seulement 0,00045 °C.
Or le GIEC/IPCC annonce un réchauffement du climat au cas ou le taux de CO² doublerait dans les cent ans à venir de 2,4 à 5,8 °C tout de même un écart énorme entre 0,00045 °C et 5,8 °C !
Récapitulation les données développées précédemment :
° Le CO² n’est que partiellement opaque aux rayons infrarouges.
° Proportionnellement, 365 ppm CO² c’est trop peu pour réchauffer les 999 635 ppm de gaz restant qui composent l’atmosphère. Seul le Soleil peut produire la quantité d’énergie pour réchauffer la masse d’air atmosphérique de 5 100 000 milliard de tonnes de -18 à 15 °C.
° La réémission de la Terre de 390 Wm² n’est pas une réalité.
° Le S.O. à 1370 W/m² ne peut être une valeur à retenir.
° Rien n’est moins sûr que le taux de CO² doublera dans les 100 ans à venir.
Concernant les modèles climatologiques qui doivent prédire le climat de 2100, même un ordinateur
ultra puissant (et ultra coûteux) a besoin de données justes. Avec un SO de 1370 Wm², une réémission de la Terre de 390 Wm², une masse atmosphérique dont uniquement les G.E.S. sont pris en compte c'est-à-dire 1,654 %. (Manque en masse ≥ 5 000 000 milliard de tonnes d’air atmosphérique), il est compréhensible que même les climatologues qui défendent et promeuvent la légende du CO² ne sont pas unanimes concernant les résultats obtenus par les ordinateurs ultra puissants.
Le protocole de Kyoto est principalement basé sur les données fournies par le GIEC/IPCC, des milliers de scientifiques sont impliqué, les responsables politiques (sauf les USA et la Chine) ont reconnu et ratifié le protocole, c’est à dire l’effet de serre. Les médias amplifient l’idée, la phrase « l’homme est responsable pour le réchauffement etc. » est gravée dans la mémoire de l’homme moderne.
Des taxes sont inventées pour avoir le droit d’éjecter le CO² dans l’atmosphère, un gaz absolument inoffensif et au contraire indispensable pour la production agricole qui doit alimenter 6,5 milliards de d’hommes et les animaux domestiques et d’élevage.
D’ailleurs les produits agricoles tous confondus pour nourrir les humains, les animaux, ainsi que la faune et la flore des océans, (poissons crustacés algues etc.) sont issus de la photosynthèse et extraient environs 60 % du CO² produit par l’émission industrielle annuelle.
Il faut savoir également que le CO² est un résultat naturel de la combustion, une chaudière bien réglée produit plus de CO² qu’une chaudière mal réglé, de même pour les voitures et les camions etc..
Le taux de CO² est un indicateur de quantité d’énergie brûlée, de même que le °C indique la température, La quantité de CO² émise dans l’atmosphère peut être un indicateur de gaspillage d’énergie fossile. Faire payer une taxe à ceux qui dépassent une certaine limite me semble une mesure raisonnable
L’argent des taxes pourrait être utilisé pour développer la recherche des énergies renouvelables, ou aider les pays pauvres à produire de l’électricité, au lieu de dépenser des sommes astronomiques pour extraire et stocker le CO², une mesure absolument inutile et irréelle.
Les recherches publiées connues ne donnent pas de réponse. Les conclusions et les valeurs ci-dessus sont le résultat d’une étude ** approfondie. Des essais et mesures effectués personnellement, confirment que le CO² joue un rôle non mesurable dans le réchauffement du climat.
L'auteur.
** Une étude complète qui explique tous les aspects en détail est bientôt disponible sur demande.