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Le COP21, la démonstration d'un échec
8 mars 2007

L'énergie renouvelable, inépuisable . .

« L’autre approche »

L’énergie renouvelable, définitive, inépuisable, non polluante et  économiquement exploitable, existe t’elle ?

OUI !

Est-ce que le réchauffement du climat ou l’Effet de Serre et donc le Protocole de Kyoto, à cause de 0,0365 % de CO² industriel  est une légende ?

OUI !

Sommaire :  1 -  L’énergie renouvelable. 92,5 kWm² à l’extrême de l’atmosphère

                     2 - Quelques données générales

                     3 - L’autre approche scientifique de l’Effet de Serre

                     4 -  Conclusions

   

1 ;  L’énergie renouvelable

La question si l’énergie inépuisable, renouvelable, non polluante existe, n’est même pas une question, c’est une certitude. Et pourquoi c’est une certitude ? Il suffit d’ouvrir les jeux, de mesurer et de mettre en valeur de ce qu’on constate.

Ce qu’est beaucoup plus difficile de l’expliquer au grand public, car quand il s’agit d’affronter le sujet énergétique il faut avancer des formules scientifiques et savoir le rapport entre un joule, une calorie, un Watt, MW et une TEP, pourtant il est indispensable de savoir un minimum, autrement on est dépendant a des groupes d’influence plus ou moins objectifs.

Quand il s’agit des scientifiques modernes ceux qui soutiennent la théorie de l’Effet de Serre la plus part se laissent prendre dans une tendance qui est à la mode, sans vérifier les résultats des lois et formules, faits par des scientifiques brillants il y  à environ 150 ans.

Il est indispensable, (désolé, ça commence avec des valeurs scientifiques) de se rendre compte que nous vivons sur une planète ou la température moyenne mini est – 18 °C et le moyenne maxi + 15 °C, soit une Δ t de 33°C, grâce à l’ensemble la masse atmosphérique qu’est 5 100 000 milliards de tonnes. Pour chauffer cette masse simplement de 1 °C durant une heure il faut  15,5 fois l’énergie que la consommation mondiale par an qu’est  93 millions GW. 

Donc il s’agit des quantités énormes d’énergie, seul le Soleil peut produire ce flux d’énergie pour réchauffer tous les jours la masse atmosphérique de ce qu’il réémet en énergie vers l’espace la nuit.

Pour répondre a la demande de couvrir le Δ t de 33°C il faut env. 92 500 W/m² d’énergie électromagnétique solaire à l’entrée de l’atmosphère et non pas 1 358 Wm² comme les « Pro Effet de Serre* » annoncent, c’est une donnée extrêmement important, 92 500  et non pas 1 358 Wm².

Le soleil a formé dans le passée lointain l’énergie fossile sur notre Terre, dont le humanité a profité et en profite encore, mais le stock se réduite avec une vitesse incontrôlable a cause de notre gaspillage et l’explosion économique de la Chine et l’Inde etc.

La révolution scientifique et industrielle du siècle passé nous permet de capter l’énergie électromagnétique solaire directement par les capteurs photovoltaïques et de le transformer en énergie électrique, avec 92,5 kWm² a une altitude de 15 à 20 km, l’homme dispose d’une source d’énergie absolument illimitée et non polluante.

Le défi pour pouvoir exploiter cette source d’énergie inépuisable, l’idéal serait de fabriquer les panneaux photovoltaïques qui captent 15 à 20% sur 92,5 kWm², (ou 92 500 MW/km²) mais qui n’existent pas encore, le rendement des panneaux actuels les plus performants captent 20 % sur environs 1 350 Wm² soit 270 Wm².

Il y a encore des progrès a faire, mais vu l’importance’ d’avoir une source d’énergie si impor-tant intéressera certainement les spécialistes en la matière. En altitude un panneau pho-tovoltaïque en face du soleil capte l’énergie solaire 24/24 h. Et un capteur stationnaire presque 12 heures par jour.

Le captage en altitude est moins compliqué et coûteux avec des panneaux photovoltaïques performants, et les placer en orbite, que de produire l’énergie nucléaire par fusion comme le projet ITER, ou on tente d’imiter de ce que ce produit sur le Soleil.

Au cas ou on arrive à produire un panneau photovoltaïque qui capte 20 % de 90 kW/m², soit 18 kW/m², la surface du panneau doit être 600 km², dont une diamètre de 27,6 km pour répondre a la demande d’énergie mondial actuelle, qu’est estimer à 8 milliards de TEP/an soit 93 millions GWh.

Jusqu’ici tout est compréhensible et vérifiable, de capter l’énergie solaire en altitude on le fait tout les jours avec les satellites qui tournent autour de la Terre depuis quelques dizaines d’années, le transport de l’énergie électrique produit par les capteurs est une technique réalisable et du déjà fait selon des publications dans des revues scientifiques renommées.

Bien sûr sur le plan réel il faut un multiple de panneaux selon la concentration d’habitants ou des zones industrielles, chaque pays peut avoir ses propres  centrales de captage il n’y a dans ce cas plus de frontières, plus de transport de gaz, pétrole et charbon routier et maritime, ni de pipe lines, ce qui fait que l’énergie solaire en altitude est encore plus attrayante car l’énergie solaire est captable ou il faut.

Ceci doit plaire aux anti-nucléaires ; Par exemple pour capter l’énergie en altitude  iden-tique à une centrale nucléaire de 1500 MW,  il faut un panneau photovoltaïque de 0,083 km² dont un diamètre de 325 m.

Ceci toujours dans l’hypothèse qu’on arrive a capté 20% sur 92,5 kW. Mais même si techni-quement on n’arrive pas a capté plus que disons 1 kW/m² soit 1000 MW/km² le capteur  doit avoir une surface de 1,5 km², même dans ce cas l’énergie solaire capté en altitude est encore de loin la solution la plus intéressante.

Avec l’énergie électrique produite il est également possible de produire l’hydrogène un éne-gie, performant et non polluant, ou charger les batteries, pour répondre à la demande énergétique nocturne et le transport etc. Le problème actuel pour produire l’hydrogène est la quantité d’énergie indispensable et pratiquement pas envisageable avec l’énergie fossile ou nucléaire.

2 -  Pourquoi l’Effet de Serre, par simple observation, la version « Kyoto » ne

         peut être une réalité.

La théorie du réchauffement du climat de 2,4 à 6 °C à cause du CO² industriel est très probablement une erreur  scientifique, et, sans avoir un diplôme scientifique universitaire on peut comprendre et découvrir pourquoi.

Il y a deux camps, les sceptiques de l’Effet de Serre connues; Michael Crishton, Fred S. Singer, Claude Allègre, Marcel Leroux, Aroun Tazief et il y a entre autre encore 400 climatologues internationaux. Seulement ils se basent sur des constations climatique qui contredisent les constations que les « Pro Effet de Serre* » avancent.   

Et les « Pros de l’Effet de Serre* » sont ; l’IPCC/GIEC, le CNRS, Météo France, et les Mrs. Al Gore, Nicholas Stern, Nicolas Hulot, Charpak, Jean Jouzel, Jancovici, André Berger auteur de « le climat de la Terre » etc. (* les P.E.S.).

Les P.E.S sont très soutenus par les medias et les responsables politiques. Par exemple les spécialistes du météo annoncent « le mois de novembre 2006 a été le plus chaud depuis 1950 notamment 4°C en France, et dans les pays nordique il faut remonter à 300 ans pour trouver des valeurs identiques. Et ensuite on ajoute ;  «  L’homme doit réduire l’émission du CO² pour sauver notre Terre »

En analysant cette information ; Quand il y avait un mois aussi chaud il y a 300 ans avec un taux de CO² de  23 % plus bas qu’en 2006, cela veut simplement dire, et confirme, que le CO² n’a pas d’impact mesurable sur la température à la surface de la Terre !

Est ce que  les médias en question savent de quoi ils parlent ? Ou sont t’il, disons conseillés de diffuser des informations de ce genre ?

Pour comprendre que le CO² ne peut pas avoir une influence thermique mesurable en tant que gaz présent dans l’atmosphère qui à une masse de 5 100 000 milliard de tonnes, les quelques exemples suffisent pour se faire une idée sur la question.

Il faut d’abord se concentrer sur un colonne d’air atmosphérique de 1 m², la pression atmos-phérique est ∞1 kg/cm² soit 10 000 kg/m², la température sur notre planète en moyenne mini

– 18°C  et le moyenne maxi + 15 °C. soit un Δ t de 33 °C.

Remarque ; Sur la lune il n’y a pratiquement pas d’atmosphère donc mesurer la température ambiante est exclu. La Lune se trouve en moyenne à la même distance du soleil que la Terre par conséquence la puissance ou densité solaire reçu au m² est identique.

La température mesurée sur la Lune côté exposée au  soleil dans les roches, est de 110 à 140 °C (moyenne de 125 °C) ; les températures coté opposé au soleil sont de – 140 à -160 °C (moyenne de – 150 °C) il y a donc un Δ t de ± 275 °C., ces valeurs correspondent également avec un rayonnement solaire de environ 92,5 Wm². Voir explication ci-dessous

3 - L’autre approche scientifique ;

A partir des données de base ; la pression atmosphérique, la chaleur spécifique, le poids volumique, la repartions des gaz différents composant l’atmosphère, on obtient les résultats ci-dessous, en respectant la lois d’Avogadro, qui dit qu’un gaz composé, comme l’at-mosphère, les gaz différents ont les températures identiques, ce qui permet de supposer que le tableau donne des valeurs réelles.

Tableau n° 1. Analyse d’un colon d’air atmosphérique de 1 m².

Dans le tableau ci-dessus on peu lire ; que le CO² (6) représente simplement 0,029% du total en énergie, ou 27 W/m² (8) sur le total de l’énergie 92 554 W/m². Dans la colonne (9) on peut lire que les gaz différents assurent dans le bilan climatique en température, par exemple l’azote (N) garantie 25,7 °C (9) sur le Δ T de 33 °C dans le bilan climatique, le CO² seulement 0,00947 °C (9) avec le taux actuel de 365 ppm.

Ceci signifie qu’au cas ou le taux de CO² double* dans les cent ans à venir, la température augmente seulement 0,00947 °C.

Le tableau démontre également très clairement que  « tout les gaz composant l’atmos-phère sont des gaz a effet de serre sans exception dans des proportions bien préciss »

Les données de base de la théorie de l’Effet de Serre sont les suivants :

- A - Le So à l’entrée de l’atmosphère est 1 358 W/m²,

- B - La surface de la Terre capte 390 Wm² d’énergie solaire.

- C - Les 390 Wm² sont transformé en rayons infrarouge et réémis, ensuite cette énergie est

        stockée et reflétée par les 0,0365 % de CO² présent dans l’atmosphère et provoquera

         une augmentation de 2,4 à 6 °C dans les cent ans a venir.

- D - Un augmentation de taux de CO² dans les cents ans à venir du à l’activité industriel.

Développements des arguments qui contredisent les données appliquer par les P.E.S.

- A - L’énergie indispensable pour réchauffer 10 000 kg/m² (voir tableau N°1) d’air atmosphérique est 92,5 kWm², il n’y a aucun élément ou raisonnement qui va dans le sens d’un « So » de 1 358 Wm².

Selon Kepler, sa formule permet de calculer l’énergie reçue à la (surface de la Terre ou à la l’extrême de l’atmosphère ?) dans lequel il y a des facteurs comme 3,8E+26 et 1E+17, sim-plement un écart de 0,0013 % a pour résultat que le So est 92 500 W/m² et non pas 372,48 W/m².

- B - Une vérification de façon simple pour savoir si la surface de la Terre peut capter 390 Wm² est, de demander à Météo France les relevés de l’énergie solaire reçu à la surface de la Terre durant les quarante ans passé. La réponse est, l’énergie solaire constatée à la Rochelle est 145 Wm²  et pour Orléans 135 Wm². Il est également admis que l’énergie reçue solaire mondiale est 185 Wm².

- Il y a une loi scientifique de Kirchhoff qui dit : un corps noir ne peut émettre plus d’énergie de ce qu’il reçoit. L’émission solaire à la surface de la Terre n’est partiellement captée, donc première constate la Terre capte déjà moins que 185 Wm². Comme il n’y pratiquement pas d’émission de la Terre même, (seulement 57 Wh/m² par an) le 390 W/m² ne peut pas être considéré comme une réalité.

Une autre explication des P.E.S est, que l’énergie, sous forme de rayons infrarouges, dégagés par la surface de la Terre, de 390 Wm², qui est selon la formule de Stefan-Bolzman « E=σT4 » qui donne comme résultat, avec  une température moyenne maximum de 15°C de 0.5593cal/gr/ cm²/minute = 389,65 Wm². (T4 est la température absolu (-273 °C) et σ est une constante : 8,13 x 10E-11)

Avec la formule de Stefan c’est le même problème qu’avec Kepler nul explique que si le résultat que donne la formule est à la limite de l’atmosphère ou à la surface de la Terre.

En réalité l’énergie solaire capté par la Terre durant la journée est réémise la nuit vers l’espace, (la terre et les océans stockent en été tout de même un petit peu, le Δt de la terre est environ 12 à 14 °C et les océans 8 à 12 °C, à la surface) cet énergie stocké en été et réémise l’hiver à l’espace, le bilan de la réémission annuel est 0,00 Wm².

Il n’y a donc pas le moindre trace de la réémission de 390 Wm² de la Terre, le 0,00 Wm² est quasiment réel. Et pourquoi il n’y a pas de trace ? Dans le formule de Stefan il y a un facteur notamment de la température absolu T = -273 °C. La Terre est un corps noir mais elle émet son énergie reçue à l’atmosphère qui n’est pas un véritable corps noir. Ni à la surface de la Terre ni à la limite de l’atmosphère il y a – 273°C. Ce qui fait que la formule de Stefan n’est pas applicable dans le contexte de la théorie du réchauffement du climat.

En développant le raisonnement ci-dessus, ceci donne en  admettant que l’émission de la Terre est 0,00W/m², que la valeur de selon Stefan et Kepler qui est ± 390 Wm² à X km de la surface de la Terre et à l’entrée de l’atmosphère il y a 92 552 W/m² selon Avogadro, on a un bilan qui correspond avec les mesures et constats réaliste.

- Finalement la théorie de l’Effet de Serre est basé sur le constat que le taux de CO² a augmenté de 280 à 365 ppm en cent ans et il y à également une augmentation de 0,6 °C durant les cents passées. Au première vue, il y a une logique, mais c’est ne pas très scientifique ce que démontre le tableau N° 2.

- D - Les spécialistes en énergie connus sont unanime sur le fait que l’énergie fossile est épuisée d’ici 40 à 50 ans (excepté le charbon) cela signifie que la production de CO² s’arrêt automatiquement.

La question qui se pose est donc combien de CO² émet l’industrie encore en brûlant le stock mondiale fossile en X années ? Le résultat d’un calcule en se basant sur le fait que le temps de vie d’un molécule de CO² est environ 100 ans et la masse de CO² dans l’atmosphère est 1,8E+12 tonnes le tableau N° 2 donne les valeurs.

           Tableau N° 2

L’approche ci-dessus démontre clairement que l’augmentation du CO²  ne peut  venir de l’é-mission industrielle et est donc encore un élément qui met en doute la valeur du « protocole de Kyoto ».

Conclusion ; dans les points A, B et C on constate clairement que entre la théorie de l’Effet de Serre et la réalité manque tout simplement 98,4 % de la masse atmosphérique de 5 100 000 milliards de tonnes. Et un manque inquiétant de la recherche cohérant dont le rôle que joue le CO² par rapport à la vie sur Terre, et le mécanisme terrestre qui équilibre le taux de CO².

Il n’ y a aucun élément qui permet de dire que le hausse du taux de CO² est due a l’émission industrielle de dire le contraire est beaucoup plus réaliste.  

Ces constats renforcent l’idée que les P.E.S. manipulent des lois et formules scientifique a fin de répondre a un objectif précis, de faire croire au grand public que le CO² est le responsable pour le réchauffement du climat, et qui permet d’introduire un taxe qui créera un mouvement des fonds gigantesque non contrôlable.

Et qui ressoud en rien le problème fondamental de l’énergie renouvelable, non polluant, et économiquement exploitable.

L’auteur, Jean de Bloois.

Les données scientifiques sont extraites de l’étude « Une autre approche sur le rôle du CO² dans le réchauffement du climat terrestre supposé » texte déposé.

Note personnel : Durant 40 ans j’ai cherché une façon acharnée de résoudre les problèmes énergétiques et donc lutter contre le gaspillage et pollution d’une façon rationnelle, en étant thermicien, à mon compte, je ne suis pas un contestataire et je n’appartient à aucune groupe d’intérêts ou influence.

Si il s’avère qu’il n’y a pas d’autre raisons scientifique que les informations fournis par les P.E.S, qui contredisent ce que j’avance notamment qu’il y a 92,5 kWm² d’énergie solaire exploitable à l’entrée de l’atmosphère, je m’encourage de maintenir la découverte et c’est finalement en partie grâce au « non sens de la théorie de l’Effet de Serre, la base du protocole de Kyoto ».

________________________________________________________________

Tableau N° 2

Le stock en énergie fossile  est estimé à 45 ans                                en 45 ans

Masse de CO² dans l’atmosphère en t        1,80E+12           t/C             t/C

L’équivalent en Carbone (C)   en t            4,92E+11

Elimination du CO² dont également le C*                    4,92E+9       2,22E+11

Assimilation production agricole C t/an                       1,27E+10      5,74E+11

10% de l’assimilation sauvage mondiale C t/an.             2,16E+10     9,72E+11

Emission industriel de carbone par an                           - 8,00E+9     - 3,69E+11

Bilan de l’émission et l’élimination du carbone             3,13E+10       2,13E

      1                      2                4                 7                   8                   9

Composition     ppmv        chaleur    stock en      énergie W/m²      °C dans

                                        spéc. J/kg  énergie %     Δt = 33°C     dans l’atmosph.

                       0,2095    920          21,139         19 564,68           6,9758

                       0,7811    1040          77,897         72 080,00          25,7001

     H²O vari.       0,0035     2000            0,323              298,84            0,1066

         CO²           0,0004        820            0,029                26,56            0,0095

         CH4          0,0000      2210             0,000                 0,19            0,0001

         AR            0,0093        520             0,631             583,58            0,2081

      Total                                                                    92 553,84         33,0000

1 cal = 4,184 J  -   1 kWh = 3,6 10E+6 Joules  -   1 tep (ton équivalent pétrole) = 11 620 kWh = 11,6 MW/h = 0,0116 GW/h

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Commentaires
D
Capter l’énergie solaire en altitude est très logique. Mais comment acheminer cette énergie sur terre, par des kilomètres de cables électriques, des rayons lazer visant des accumulateurs ? Gros problèmes pour les controleurs aérien !
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M
Je suis du coté de ceux qui comme vous doutent sérieusement de l'effet de mode et des corrélations abusives. Je vois cependant deux faiblesses dans votre approche: vous semblez faire varier la totalité de la masse atmosphérique de 33°, alors que la variation dépend beaucoup de l'altitude, et je n'ai pas trouvé d'estimation de la réflexion des IR (effet de serre) par la vapeur d'eau, le CO2 bien sûr, et les nuages. Pouvez vous m'éclairer?<br /> Merci
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A
votre demonstration repose sur un delta temperature de 33° D'où tirez vous ces informations ? il ny a que les deserts qui auraient une telle amplitude.<br /> Merci de me communiquer vos sources <br /> cordialement
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C
votre site ma ouvert les yeux et j'espers que sa sera pareil pour d'autre gens
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Le COP21, la démonstration d'un échec
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