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Le COP21, la démonstration d'un échec
2 avril 2009

L'Effet de serre: Quel effet?

Date 30 janvier 2009

« L’Effet de serre » 

Quel effet ?

Un sujet complexe et sensible donc difficile à aborder, il faut avoir une certaine connaissance en physique, thermique, chimie, biologie, climatologie météorologie et un sens d’observation de ce qui se passe autour de soi, et être politiquement objectif. Les experts qui annoncent le réchauffement climatique de 2,4 à 6 °C ont-ils toutes ces qualités ?   

Quand les pouvoirs politiques créent l’IPCC ou en français  GIEC « Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat » avec comme cahier de charges de créer un climat autour de l’idée de « l’effet de serre », avec le CO2  comme principal responsable dans un réchauffement climatique durable, il y a de quoi philosopher. 

Le but de cet article, le résultat d’une étude approfondie, n’est pas de faire de la politique mais malheureusement la politique et la science se sont confondu dangereusement. Je tente simplement de les démêler, avec des arguments scientifiquement objectifs et fiables et surtout vérifiables.

Quand les pouvoirs politiques essaient de réduire l’émission du CO2, c’est une bonne mesure, ça signifie réduire le gaspillage de l’énergie fossile, et, ils démontrent qu’ils sont conscients que la fin de l’ère de l’énergie fossile s’approche. Mais par contre ils n’ont pas encore trouvé l’énergie remplaçante renouvelable, inépuisable et non polluante, et ne sont pas prêts à la trouver de façon à traiter le sujet. Pourtant cette énergie existe !! (Voir ci-dessus)

Un réchauffement climatique durable c’est d’abord un sujet purement scientifique, notamment « thermo physique » et une fois obtenus des résultats fiables, des mesures environnementales, économiques et politiques s’imposeront.

Les résultats essentiels sont connus, mais bizarrement l’IPCC/GIEC n’en fait rien. Dans le Laboratoire de Météorologie Dynamique du CNRS à Paris on a constaté que l’impact du CO2, actuellement contenu dans l’atmosphère, sur le climat est 50 Wm² et l’impact d’un doublement du à l’émission industrielle future ne sera que 4 Wm².

Selon l’ACMG, centre de recherche à Agen, les chercheurs ont constaté que l’im-pact actuel du CO2 dans le climat  est 6 à 7 W/m², c’est à dire, la surface de la Terre réémet l’énergie solaire infrarouge reçue, vers l’espace dans le spectre d’environ 10 µm (15 °C) et le CO2 absorbe 6 à 7 W/m²

Selon une méthode développée par moi-même le gaz CO2 dans l’atmosphère ab-sorbe et réémet dans les spectres entre  1,4 à 5,2 µm et 2,7 à 4,3 µm,  42 Wm², ceci converge avec les résultats ci-dessus. (Pour des non scientifiques les explications compréhensibles seront données ci-dessous). 

Chaque thermicien trouvera que cette quantité d’énergie, l’équivalent de 0,4 à 0,7 gr de pétrole, en la transformant en chaleur ne provoquera qu’un réchauffement climatique d’environ 0,0014 °C. Ceci signifie que quand les pouvoirs politiques tentent de réduire l’émission du CO2 pour lutter contre un supposé réchauffement climatique durable de 2,4 à 6 °C, ils se trompent lourdement.

Quand au nom de l’émission du CO2 entropique future, de 4 Wm², on se prépare à capter et stocker le CO2 industriel, avec des installations complexes, très coûteuses et absolument inutiles, ce n’est pas difficile à comprendre que l’on jette de l’argent par les fenêtres, c’est une fausse économie, et avec la crise financière et économique sans égale, on continue à faire fausse route.

Finalement l’essentiel est dit sur le soit disant « ’effet de serre », le 4 Wm² est une donnée scientifiquement fiable,  il n’y pas une explication scientifique sérieuse qui démontre qu’avec 4 W/m² on peut réchauffer une colonne d’air atmosphérique avec une masse de 10 000 kg/m²* de 2,4 à 6 °C pourtant annoncé par l’IPCC/GIEC.        (*pression atmosphérique 1kg/cm²)

A titre indicatif, pour avoir un réchauffement climatique de ± 6 °C il faut 16,8 kW/m² en énergie. La consommation mondiale en l’an 2000, en énergie fossile, était 10,6E-6 MW (par heure) soit 0,0028 kW/m² terrestre et provoquera un réchauffement de 0,00099 °C. On constate que l’apport humain, dans le bilan climatique n’est pas mesurable.

Il est désormais  clair, que le comportement de l’homme n’atteint pas le climat global, sauf en cas de catastrophe nucléaire bien sûr, tout ce qui est écrit ci-dessous est pour expliquer comment on peut se perdre dans un « non sens » scientifique, voulu, ou par manque de réalisme.

Les scientifiques du GIEC et d’autres vont bien sûr dire, nous avons appliqué les lois et for-mules de Planck, Wien, Stefan, Kirchhoff et bien d’autres, mais dans les lois et formules de Planck, Stefan etc. ils ne prétendent pas avoir introduit la masse atmosphérique dans leurs calculs, ils ne sont donc que partiellement ou pas applicables dans l’effet de serre modèle GIEC

Avant d’abandonner le coté politique économique, l’écotaxe sur l’émission du CO2 industriel peut être une taxe juste et utile car le CO2 est un résultat naturel de la combustion de l’énergie fossile et indique la quantité d’énergie brûlée « où gaspillée », mais sous condition que cette taxe soit bien uti-lisée, par exemple la recherche de l’énergie en altitude et non pas pour capter et stocker le CO2 émis.

Tous ceux qui se permettent d’exprimer un doute sur l’effet de serre modèle IPCC/GIEC, même en étant pour la culture bio, la médecine naturelle, contre le gaspillage de l’énergie fossile, et en respectant l’environnement on est considéré écologiquement irresponsable, un sceptique, ou un négationniste.

Est-ce que peut on être un persuadé du non fondée du réchauffement climatique basé sur le modèle « effet de serre  IPCC/GIEC» basé sur le CO2 ? On devrait

Qu’est ce qui se produira au cas où toute mon étude est absolument fausse et le modèle IPCC/GIEC juste:

Nous continuons a brûler ou gaspiller notre stock d’énergie fossile et en effet émettre le CO2, même avec les dispositions envisagées les plus drastiques d’économie d’énergie, avec la Chine, l’Inde, et le Brésil, qui vont exiger leur part, on peut raisonnablement supposer que dans 30 à 40 ans le stock est épuisé. Et par consé-quent l’émission de CO2 aussi.

L’assimilation en CO2 par la photosynthèse de la végétation sauvage et agricole est largement supérieure à l’émission industrielle. On constate donc qu’aussi sur le plan biologique il n’y pas une raison d’adhérer au modèle IPCC/GIEC.

Le temps de vie d’une molécule de CO2 est 100 à 120 ans, chaque année environ 1%, soit 2,86E+10 tonnes/an de ce gaz s’autodétruise dans l’atmosphère. C'est-à-dire la molécule de « C » se dissocie de l’ O2, et n’est donc plus un gaz et retombe, la molécule O2 reprendra sa place comme gaz atmosphérique. L’émission de CO2 en-tropique est environ 2,3E+10 tonnes/an on peut donc parler d’un équilibre.

On a beau chercher dans tous les sens, malgré des équilibres, la teneur en CO2 dans l’atmosphère augmente incontestablement, il faut chercher la source de cette production, et le pourquoi. Au lieu d’en tirer hâtivement des conclusions comme la légende de « l’effet de serre »  qui est manifestement faux dans les tout les détails.

 

Pourquoi l’effet de serre et non pas directement l’effet de l’atmosphère ?

Les scientifiques ont inventé « l’effet de serre » car jusqu’à ce jour, ils n’ont pas fait l’effort de comprendre le principe du fonctionnement thermo- physique de l’atmos-phère. Il y a un trou de 99 %  en connaissance et en matière.

L’atmosphère est  le protecteur et régulateur thermique et physique entre la surface terrestre et les influences solaires d’un coté et l’espace de l’autre, à la surface du soleil il y a une température de  ± 6000 °C qui émet ses rayons vers la Terre, et à l’opposé le refroi-dissement par rayonnement vers l’espace ou il y a quelque part une température de – 273 °C. C’est pour cela que l’atmosphère à une masse 5 100 000 milliards de tonnes d’air soit ±10 000 kg/m². La Terre et son atmosphère se déplacent avec une vitesse de 620 km/sec. par rapport à un point donné dans l’espace et joue par conséquent aussi un rôle mesurable dans le refroidissement.

A titre indicatif, pour que la température à la surface de la Terre augmente de 6°C, selon le scénario du GIEC, la masse de l’atmosphère devrait être ± 6 000 000 milliards de tonnes, dont pression une atmosphérique de 11,76 kg/cm², en maintenant la même composition, la même puissance solaire et à la même distance du soleil. Les trois conditions sont incompatibles

Il y a un choix à faire, ou on se concentre sur 0,037 % de gaz, le CO2, comme l’IPCC/GIEC, ou on se concentre sur l’ensemble des gaz composant l’atmosphère  notamment 78% de azote, 21 %  d’oxygène, 0,03 % de H20 en état de gaz, 0,93 % d’argon et entre autres les 0,037 % de CO2.

L’approche retene est basée sur l’ensemble des gaz atmosphériques et le résultat ouvre des perspectives assez intéressantes, de cette façon le 1,18E+15 tonnes d’oxygène et le 3,86E+15 tonnes d’azote  jouent aussi leur rôle dans le climat ce qui me semble hautement logique et permet de constater que l’énergie renouvelable, inépuisable et non polluante existe (ci-dessous) Mais qui exclut l’idée de l’effet de serre modèle IPCC/GIEC définitivement.

D’ailleurs, un thermomètre mesure et indique la température de l’ensemble  des gaz atmosphériques, (et non pas uniquement les gaz à effet de serre au cas où ils existeraient). La question fondamentale qui se pose est, comment sont il chauffés : Par le soleil ou par la surface de la Terre ? La réponse est, forcément par les rayons solaires, et notamment les rayons infrarouges.

J’en suis désolé, mais il faut faire un peu de « science réalité» indispensable.  Le soleil émet son énergie en ondes électromagnétiques qu’ont dans tous les spectres une vitesse de 300 000 km/sec. Les spectres de 0,1 à 0,4 µm (micromètres) sont appelés les ultraviolets,  de 0,4 à 0,78 µm les spectres visible, et  en suite  les rayons infrarouges porteurs d’énergie sensible en chaleur dans les spectres de 0,78 à 3 µm. Le soleil émet encore des IR jusque à 30 µm, mais l’intensité est extrêmement faible, c’est aussi l’avis de M. Pierre Pédelaborde Professeur de climatologie à la Sorbonne et auteur de plusieurs livres.

Il y a une lois physique qui dit ; Toutes les matières sans exceptions, solides, liquides ou gazeuses exposées aux rayons électromagnétiques solaires ont un spectre d’absorption et réémission dans l’infrarouge proche et / ou lointain, c'est-à-dire il y a une transition énergétique par la vibration des molécules, mais dans des spectres différents selon la matière.

Les « pro effet de serre », l’IPCC/GIEC, certains responsables chez Météo France, le CNRS, le NASA et des personnes comme Mrs. Jancovici, Jean Jouzel, Al Gore, Nicolas Hulot et le (photographe talentueux) Jean Arthuis Bertrand etc., suivis par la majorité des médias, tentent de faire croire avec succès d’ailleurs, que prin-cipalement le 0,037 % de CO2, apporte suffisamment d’énergie pour réchauffer le 78,11 % d’azote et le 20,95 % d’oxygène soit une masse de 9 860 kg/m² présente dans l’atmosphère Voyons cette croyance plus près.

En lisant la phase ci-dessus, sans être scientifique, l’illogique saute aux yeux, un gaz pesant 5,6 kg/m² qui réchauffe une autre matière (gaz) pesant 9 860 kg/m² de 2,4 à 6 °C, soit 18 %, avec 4 à 7 W/m², un gaz  avec des telles caractéristiques thermiques et physiques n’est pas encore découvert dans le système solaire.

Malgré cela Mr. Laurent Li du CNRS chargé de recherches du Laboratoire Météorologique Dynamique à Paris, dit a propos de l’effet de serre basé sur des données du GIEC ; 

« Il est intéressant de noter ici que l’atmosphère n’est pas directement chauffée par le soleil venu du haut, mais plutôt par la surface (de la  Terre) » et ensuit il écrit : « l’azote 78 % et l’oxygène 21% n’ont pratiquement aucun rôle dans le bilan énergétique de la Terre.

M. André Berger  dans son livre « Le Climat de la Terre » à la page 209 dont je vous épargne le texte, explique d’une façon scientifique, la philosophie avec des formules scientifiques notamment la formule de Stefan-Boltzman  E = σT4 a l’appuis, M. Berger tente aussi de faire valoir que c’est la surface de la Terre qui émet 153 Wm² et réchauffe 98,06 % des gaz atmosphériques et ignore par conséquent que les gaz comme l’oxygène et l’azote absorbent et réémettent les rayons infrarouges dans les spectres IR hautement chargés (Ci-dessous)

Qu’est ce que c’est l’effet de l’atmosphère » ? La réponse ou preuve scientifique n’est pas compliquée à comprendre et le résultat est ; Toutes les gaz composant l’atmosphère sont chaque jour réchauffés par le soleil et refroidis la nuit, pour garantir une ∆T de 33 °C (-18 + 15°C) à la surface de la Terre  il faut 5 100 000 milliards de tonnes d’air atmosphérique pour garantir ce résultat. Soit environ 10 000 kg/m² et pour réchauffer 10 000 kg d’air à 33 °C il faut en énergie 92,5 kW/m² et notamment l’énergie solaire.

La Terre  réémet l’énergie infrarouge absorbée par exemple au pôle nord et sud dans des cas extrême à ± 13 µm (-50°C), dans les déserts à ± 8,9 µm (+50 °C), et en moyenne à 10 µm (15 °C ou 288K) vers l’espace (– 273 °C selon la lois de Kirchhoff), et voila le supposé « effet de serre » se joue dans les spectres considérés comme extrêmement faibles.

Les scientifiques de l’IPCC/GIEC prétendent pouvoir réchauffer le climat donc l’atmosphère (10 000 kg/m² d’air) avec principalement 0,037 % de gaz (CO2) dans un spectre ou l’intensité est extrêmement faible, et même jusque à 6°C.

Personnellement, j’ai tenté des dizaines de fois de réaliser l’expérience dans des vraies serres, (surface de 10 000 m² à  80 000 m²) en étant responsable d’un bureau d’étude en climat sous serre, en dosant le CO2 jusque à trois fois la dose naturelle  soit ± 1100 ppm, le réchauffement a été 0,00 °C, soit pas mesurable

Pour ne pas noircir des tonnes de papier allons au but, j’ai trouvé selon une méthode spécifique que le 370 ppmv de CO2 (soit 5,6 kg dans le 10 000 kg/m² d’air atmosphérique) absorbe et réémet  42 Wm² * d’énergie dans le bilan climatique. Sur le plan thermique le CO2 représente  0,0145 °C.

Scientifiquement rien n’est sûr sans avoir une ou plusieurs confirmations sérieuses et pour ceux que cela intéresse, trouveront les sources ci-dessous.

Des chercheurs du Laboratoire de Météorologie Dynamique du CNRS à Paris, notamment Mrs. Bernard Legras, Jean Dufresne et Gérard Megie qui répondent a une question en 2003 : Ceci explique que le doublement du gaz carbonique de 350 à 700 ppmv ne conduit qu’à un apport d’énergie supplémentaire de 4 Wm²  alors que l’effet actuel (350 ppmv)  est d’environ 50 W/m². » (* Donc pas loin de 42 Wm² ci-dessus)

Ou l’ACMG, (Centre expérimentale Climat  de la filière fruits et légumes du bassin du Grand Sud-Ouest) a trouvé que le CO2 absorbe et réémet 6 à 7 W/m² à +/-10 µm  donc à environ 15 °C. Voila c’est le 6 à 7 Wm² qui doit provoquer le réchauffement du climat de 2,4 à 6 °C selon le GIEC et augmenter le niveau des océans jusque à 6 m dans les cent ans à venir.

L’erreur essentielle de l’effet de serre, modèle GIEC/Arrhenius, est notamment l’idée que le soleil ne réchauffe pas les gaz en dehors les gaz (considérés) a effet de serre dont l’H2O le CO2 et le CH4.   Et pas les autres 99 %, ceci est en totale contradiction  avec la loi physique ci-dessus et empêche de trouver l’énergie renouvelable indis-pensable pour l’humanité.

Il est constaté dans les vraies serres qu’avec le sol ombré par la végétation, le soleil réchauffe tout de même l’air. La loi physique (ci-dessus) qui dit que les rayons solaires IR réchauffent aussi les gaz, et M. Laurent Li écrit que 99 %, l’oxygène et l’azote, des gaz atmosphérique ne sont pas réchauffés par le soleil, il devrait dire pas dans le spectre de 10µm, mais il omet de le dire où il ne sait pas que l’oxygène (O2) comme l’azote (N2) sont forcément chauffés par le soleil dans une autre spectre. Tout de même, un peu brouillon, pour un scientifique responsable.

   

Par exemple pour l’oxygène (O2) les spectres d’absorption se situe entre 0,759 et 0,767 µm* cela veut dire que les photons dans ce spectre, réchauffent  les 2 322 kg/m² d’oxygène (sur les 10 000 kg/m²) directement. (* Selon des mesures effectuées par un appareil de mesure de la diode laser de « Vaisala »  site www.vaisala.fr)

Une dernière précision, « l’effet d’atmosphère » est une  action thermo-physique, qui a son effet sur le climat terrestre, les modèles climatiques sur des ordinateurs superpuissants et hyper coûteux sont programmé principalement par des climatologues et météorologues, qui n’ont probablement pas introduit que toutes les gaz composant l’atmosphère sont chauffés par les rayons électromagnétiques infrarouges et réémis ensuite. Et que l’azote présent pour 78 % absorbe et réémet 72,8 kW/m², l’oxygène 19,6 kW/m², le H2O en tant que gaz  0,299 kW/m², le CO2 seulement  0,042 kWm², et aussi selon le CNRS « 0,004 kW/m² » pour l’émission  future de CO2, le temps que le stock de l’énergie fossile s’épuise.

Si ces messieurs de l’IPCC/GIEC, qui selon l’évangile de AL Gore, accusent l’homme d’être le destructeur de la Terre à cause de ses émissions de CO2, qu’ils introduisent les valeurs ci-dessus dans leurs ordinateurs ultra puissants, alors l’ordinateur ultra puissant déclarera l’homme « non coupable ».

Pour éviter tout malentendu, je ne dis pas qu’il n y a pas un réchauffement climatique, momentané ou durable mais il n’y pas un élément qui permet de dire que ce soit à cause du CO2. Et s’il y a un réchauffement durable, les scientifiques de l’IPCC/GIEC ont intérêt à en découvrir la vraie raison pour que l’homme s’y prépare.

Le résultat le plus important de mes recherche à mon avis est ; Du fait que le soleil réchauffe tous les gaz  atmosphérique sans exception et réémet son énergie ensuite  vers l’espace le soleil doit émettre au moins 92,5 kW/m² (par heure), et non pas 1,37kW/m²  « le constante solaire So » retenu par les pro effet de serre, à l’extrême de l’atmosphère. Une énergie exploitable et suffisante pour répondre à la demande énergétique mondiale actuel et future. Voila notre énergie renouvelable, iné-puisable et non polluante.

Si le sujet vous intéresse veuillez consulter,  « co2etclimat-canalblog.com »

Jean de Bloois

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