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Le COP21, la démonstration d'un échec
30 septembre 2009

La taxe carbone légale ou pas ?

La taxe carbone légale ou pas ?

Premièrement s’agit-il d’une taxe de carbone ? « NON ». La taxe de 17 € est basée sur une tonne de CO2, il faut savoir que dans une tonne de CO2 il y à 27,3 % de carbone (C) et 72,7 % d’oxygène (O2). Conclusion, on va payer en réalité plutôt une taxe d’oxygène de12, 35 € /t, et la taxe de carbone est 4,65 €/t.

Le prétexte de cette taxe est de lutter contre le réchauffement climatique de 2,4 à 6 °C dû principalement à l’émission du CO2 industriel, selon le GIEC. Le laboratoire du CNRS à Paris publie sur Internet en 2003 : Ceci explique que le doublement du gaz carbonique* ne conduit qu’a un apport d’énergie suplèmentaire de 4 W/m². Ceci signifie un réchauffement du climat de 0,00142 °C.  *(l’émission du CO2 industriel)

Voici déjà deux raisons de taille contre la taxe carbone, il y a encore des dizaines d’arguments scientifiques qui confirment le non sens du réchauffement climatique dû à l’effet de serre causé par le CO2.

Sous quelle forme une taxe de carbone serait juste et utile ? La réponse est, tout simplement,  pour lutter contre le gaspillage de l’énergie fossile, dont le stock à cette cadence de gaspillage sera épuisé dans 25 à 35 ans. Et dans ce cas une taxé uniquement sur le carbone présent dans le gaz CO2. Cette taxe devrait être utilisée pour développer des énergies nouvelles renouvelables efficaces.

Car ce n’est pas l’énergie solaire captée à la surface de la Terre, au dessus de la 35 ème latitude qui va résoudre le manque d’énergie futur, avec seulement 65 à 80 heures par mois d’ensoleillement durant l’hiver dont aussi en Europe, non plus avec l’énergie éolienne, ni avec l’énergie nucléaire qu’est une solution à première vue moins mauvaise mais seulement à moyen terme. Quoi  d’autre alors, pour ne pas perdre le sens du sujet la taxe carbone, voyons l’énergie renouvelable, inépuisable, et non polluant, ci-dessous.

Pour savoir le rôle que joue le CO2 dans le climat, il faut savoir comment fonction l’atmosphère, thermiquement, physiquement, chimiquement et biologiquement, très peu des scientifiques ont pris la peine d’associer ces disciplines. Et ceci a conduit, à un (malentendu ?) inégalé, notamment le réchauffement climatique dû à l’émission du CO2 industriel.

Voici une explication, bref, de  ce qu’on doit savoir pour comprendre ce que les pouvoirs politiques dans le monde entier tentent de faire croire, par l’intermédiaire du GIEC à leurs contribuables.

Est-ce que le législateur a des preuves étanches pour légiférer une loi qui permet une taxe de carbone ? Aucune formule scientifique n’indique que cela est le cas, le GIEC « Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat » dit que des simulations avec des ordinateurs hyper puissant indiquent qu’en doublant la  con-centration de CO2 émise par l’homme, cela provoquera un réchauffement climatique de  2,4 à 6 °C dans les cent ans  a venir.

Est-ce que cette simulation est fiable ? Le GIEC part d’un principe que le gaz CO2 qui représent 0,037% dans les gaz atmosphériques est le gaz principal responsable du réchauffement climatique présumé et admet, entre parenthèse, que 0,352 % H2O sous forme de gaz joue aussi un certain rôle comme gaz à effet de serre.

Les scientifiques qui adhèrent au modèle GIEC, introduisent principalement 0,037 % des gaz atmosphériques, comme gaz à effet de serre, dans leurs ordinateurs hyper puissants. En se concentrant uniquement sur 0,037 %  de CO2, ce ne pas l’ordinateur hyper puissant qui va dire a Mr. les scientifiques du GIEC, vous oubliez 99,963 % de la masse atmosphérique. Et pourtant c’est le cas.

Il faut savoir que la Lune tourne en moyenne à la même distance du soleil que la Terre, et reçoit par conséquence la même quantité (au m²) d’énergie solaire, la tem-pérature coté soleil dans les roches est environ +130 °C et  -130 à - 230 °C sur le sphère opposé, soit une ∆t de maximum 360 °C. La Lune n’a pratiquement pas d’atmosphère.

La température de l’aire à la surface de la Terre est en moyenne entre – 18 et + 15 °C soit une Δ t de 33 °C. On peut en déduire que la différence entre la Terre et la lune est (360 - 33) = 327 °C.  C’est ce qu’on devrait appeler « l’effet de l’atmos-phère ».

Il est donc indispensable de se demander pourquoi l’atmosphère a une masse de 5 100 000 milliards de tonnes. L’air atmosphérique* en faisant un calcul, les 5 100 000 milliards de tonnes d’air atmosphérique coïncident exactement avec le Δt de 33 °C. (*avec une chaleur spécifique de 1000 joules/kg/K)

Ceci est une preuve irréfutable qu’il faut abandonner l’idée ridicule des « gaz a effet de serre » mais adapter l’idée « gaz à effet d’atmosphère ». Tous les gaz, sans exception, composant l’atmosphère selon leurs caractéristiques thermiques et physiques, protègent la Terre contre le trop de rayonnement solaire (réchauffement) et la réémission (refroidissement) nocturne vers le – 273 °C (K). L’atmosphère est un capteur et générateur translucide d’énergie solaire gigantesque.

A titre indicatif ; De cette façon les 78,11 % d’azote, 20,95 % d’oxygène, 0,9 % d’argon, 0,35 % de H2O, et ensuite seulement les 0,037 % de CO2, absorbent et réémettent selon leur spectre d’absorption en rayons solaires électromagnétique  infrarouges, jouent leurs rôles spécifiques comme gaz à effet d’atmosphère.

Par exemple le 20,95 % d’oxygène absorbent dans les spectres à haute intensité énergétique (0,76 µm) thermiques 21,13 % d’énergie solaire et garantissent dans le bilan climatique 6,99 °C et le CO2 absorbe et réémet dans les spectres a basse intensité de 10 et 15 µm, seulement 0,04 % d’énergie.

Le CNRS confirme d’une certain façon le raisonnement du fonctionnement de l’at-mosphère ci-dessus en publiant les valeurs suivants; Les chercheurs du Laboratoire de Météorologie Dynamique du CNRS à Paris, notamment Mrs. Bernard Legras, Jean Dufresne et Gérard Megie répondent a la question en 2003 :

Ceci explique que le doublement du gaz carbonique de 350 à 700 ppmv ne conduit qu’à un apport d’énergie supplémentaire de 4 Wm² alors que l’effet actuel (350 ppmv)  est d’environ 50 W/m². »

Le soit disant  « effet de serre » modèle GIEC, est selon le CNRS 4 W/m², ce n’est même pas l’énergie que produit un bougie d’anniversaire. Réchauffer l’atmosphère de 10 130 kg/m² (pression atmosphérique), de  2,4 à 6 °C avec une bougie d’anniversaire au mètre carré, relève d’un non sens absolu. Les 4 W/m² provoqueront une augmen-tation théorique de seulement 0,00142 °C.

Non seulement le CNRS arrive à cette résultat, mais aussi le ACMG à Agen  indique que  dans le spectre de 10 µm (à ± 15°C) le CO2 absorbe et réémet 6 à 7 W/m².

Il est désormais compréhensible que ce soit illogique de faire croire aux gens, qu’une source d’énergie avec une intensité énergétique extrêmement faible notamment la réémission infrarouge de la surface terrestre, et un gaz présent en infime quantité dans l’atmosphère, nommé CO2, réchauffe  5 100 000 milliards de tonnes d’air at-mosphérique.

Si le GIEC n’a pas d’autres éléments à produire que l’effet du CO2 dans le bilan climatique, la « taxe de carbone » est illégale.

Une action pour réduire la consommation d’énergie fossile serait ; de réduire le gaspillage d’énergie des habitations de  ± 250 à ≤ 25 kW/m²/an en 5 ans, réduire la consommation des voitures à ≤ 4 litres par 100 km, et le trafique en ville uniquement avec des voitures électriques, seraient une bonne mesure, et en même temps un moteur économique utile gigantesque.

Sur le plan mondial tous les pays qui se trouvent entre les latitudes de 35° des deux côtés de l’équateur il y a suffisamment d’énergie solaire pour réduire la consom-mation d’énergie fossile de 80 %, indépendamment du niveau de vie.

Faire payer par exemple une taxe sur la consommation excessive, des yachts qui brûlent 200 à 1000 litres et même plus d’énergie fossile par heure, des avions privés etc. arrêter les Grand Prix et les rallyes d’automobiles sont des interventions qui responsabilisent d’avantage le grand public contre le gaspillage de l’énergie fossile.

L’idée de captage et stockage du CO2 industriel avec des installions très coûteuses pour soit disant lutter contre le réchauffement climatique, selon le CNRS 4 W/m², est un projet absolument inutile, sur le plan environnemental ainsi qu’économique.   

Une histoire comme, réduire les gaz à effet de serre pour sauver la planète avec un effet de serre de 4 W/m², peut être considéré comme une pollution psychologique, et frustre beaucoup de gens braves et honnêtes. Un créneau bien exploité par Al Gore, honoré avec un prix Nobel et une fortune en $. 

L’énergie renouvelable inépuisable et non polluante, la plus évidente est de capter l’énergie électromagnétique photovoltaïque à la limite de l’atmosphère, le Soleil produit l’énergie qui éclaire et réchauffe tout le système solaire. Donc pourquoi les bientôt 9 milliards d’homme sur la Terre ne s’en servent pas ?

L’atmosphère absorbe et filtre les photons susceptibles de produire l’électricité absorbée par des capteurs photovoltaïques solaire, l’intensité d’énergie photo-voltaïque se trouvent dans, les rayons UV qui sont filtré par la couche d’ozone (O3), dans les rayons lumineux l’intensité est également très élevé, mais perte d’intensité en traversant l’atmosphère, dans les rayons infrarouges l’intensité décroît mais il y en’ a beaucoup plus que l’on pense.

Ceci explique qu’à l’extrême de l’atmosphère on peut capter selon la qualité des panneaux solaires le maximum d’énergie photovoltaïque, et par conséquence beaucoup plus qu’indique la supposée constante solaire de 1365 Wm² retenue. Cette constante ne concerne que les rayons lumineux.

Actuellement avec un développement scientifique réel, une meilleur connaissance de la matière de captage d’énergie photovoltaïque, et la nano technique, il serait intéressant d’activer la recherche de l’énergie solaire photovoltaïque en altitude, ou à mon avis seulement en captant X % de l’énergie photovoltaïque, disons 9 kW/m², disponible 24/24 h, résoudra le problème énergétique mondiale.

Sur le plan pratique, l’homme à déjà des expériences de captage d’énergie photo-voltaïque avec des satellites spatiaux, le transport de l’énergie électrique par micro-ondes est déjà réalisé dans l’île de la Réunion, une réalisation timide mais réelle.

Non seulement nous disposons d’un énergie renouvelable, inépuisable et non pol-luant, mais en posant les capteurs aux endroits  ou il y a de la demande, soit des régions industrielles, ou des concentrations de population, il n’y a plus besoin le transports de l’énergie fossile, notamment le transport maritime de pétrole, ni le transport routière, ni les pipe-lines de gaz et pétrole qui traversent des pays non coopérants, il n’y a plus de pays producteur d’énergie fossile qui peuvent exercer des menaces de rupture de fournitures. Bref, un autre monde s’ouvre.

Les crises économiques et financières sont en grand partie dues a un manque de dyna-misme et donc des projets utiles, le développement de l’informatique et téléphonie à été un moment un moteur économique, mais pas à 100% utile. Produire l’énergie en altitude est un projet gigantesque et utile sur toute la ligne.    

L’alternative est l’énergie nucléaire par fusion, le projet d’ITER à Cadarache, le problème de cette idée est, que l’hydrogène est un carburant de reconstitution et à besoin de l’énergie pour la production, la combustion à lieu à une température de plusieurs millions de °C, dont les ingénieurs n’ont pas encore trouvé la solution d’application !!!

Quelques mots sur le supposé réchauffement climatique, non scientifique, simple-ment par observation. Est ce qu’il y a un réchauffement  durable réel ? On constate que dans certaines régions de la Terre il y a en effet un réchauffement et dans d’autres le contraire est constaté.

Actuellement le Groenland (Pays Vert) est couvert de glace, Les Vikings en quête de terres à cultiver émigrent à Groenland il y a mille trois cents ans. L’Island (pays de glace) a été couverte de glace et vert actuellement, donc bien avant l’ère industrielle  et l’émission du CO2, il y avait des changements de climat. 

Une autre exemple, au Pays Bas on a constaté qu’actuellement le soleil brille 420 heures par an de plus qu’il y a 80 ans, soit 1h15 de soleil par jour en plus, ceci selon l’Université de Wageningen. En France selon mes propres informations à Orléans de 1960 à 2003 on  a enregistré 21 % d’énergie solaire supplémentaire, et la tem-pérature  a en moyenne augmentée 1,1 °C, la concentration de CO2 n’a pas pra-tiquement pas évolué durant les 43 ans.

En tirant une conclusion prudente, y a t’il un réchauffement, dans certaines régions de la Terre « oui », et un refroidissement ailleurs « oui », la cause probable du ré-chauffement  « la duré du  rayonnement solaire par an ». L’impact de l’émission du CO2 dans les 100 ans à venir industriel de 4 Wm² selon des données du CNRS, et d’autres, provoquera un réchauffement climatique de 0,00142 °C.

Est-ce qu’un réchauffement de 0,00142°C causé par le CO2 mérite tant d’attention ? N’y a-t-il pas de groupes d’intérêts qui comptent sur le manque de connaissances réelles concernant le fonctionnement de l’atmosphère et son influence sur la vie  en général entre autres l’homme ? 

Quelques remarques tout de même intéressant a savoir.

D’où vient le CO2 et pourquoi ? C’est le produit de la combustion, de l’atome de carbone (C), présent dans les combustibles fossiles, qui se lie avec une molécule d’oxygène (O2)è CO2, prélevé dans l’atmosphère. Ces procédures se produisent sur tous les niveaux, dans notre corps, dans les plantes, un feu de bois une centrale thermique de production d’électricité, etc.

Pour que les plantes, arbres, céréales, légumes, fruits et algues dans les océans, bref la vie en général   poussent par l’intermédiaire de la fameuse photosynthèse, il faut du carbone, mais le carbone est une matière solide, la nature a inventé la combustion ou le carbone s’associe avec un molécule de gaz O2, pour en faire une gaz 

De cette façon les feuilles captent le carbone dans le CO2 présent dans l’air atmos-phérique  et la photosynthèse avec l’énergie solaire transforme les carbones en su-cres et ensuite en hydrocarbonés les combustibles pour l’homme.

Par exemple pour produire 1 kg de blé ou de riz, la plante capte 15 à 18 kg de CO2 dans l’air atmosphérique, quand on fait un bilan global de l’émission industrielle en CO2 et l’assimilation de l’agriculture pour nourrir les 6,5 milliards d’hommes et la végétation sauvage on constate un équilibre. On peut supposer qu’une autre source jusque à présent inconnue  est la cause de l’augmentation du taux de CO2.

Quand la concentration de CO2 à augmente de 290 à 370 ppm (parts par million) en 120 ans soit 24,3%, la population humaine à augmenté aussi de 1 milliard à 6,5 milliards dans la même période, l’explosion démographique est 650 %, et on suppose qu’en 2050 on auras 9 milliards de gens a nourrir.

Un sujet à approfondir, est ce que c’est l’homme qui a fait augmenté la con-centration de CO2 ? C’est un piste a étudié, mais l’influence thermique et donc le réchauffement climatique est à exclure (ci-dessus). Ce qui est sur, plus de CO2 fait croître la végétation dans certains cas jusqu'à 35 %, par conséquence, plus d’ombre, et qui provoque son tour  un refroidissement climatique.

                                                                                              Jean de Blois.

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